Un fesseur mécanique ?
La preuve ! Cela existe bel et bien.Méticuleux et appliqué avec la régularité d'un métronome. Loin de moi de vouloir me moquer de ces messieurs qui affectionnent le travail soigné sans la moindre fantaisie. Comme celui-ci qui tombe dans un registre particulièrement sévère. Je trouve que c'est plutôt bon signe. A mon avis ce ne sont pas les partenaires fantaisistes qui font... un bon compagnon de vie, soucieux de combler un fantasme de discipline domestique de la dame. Car cela demande stabilité et solidité tout court. Un prince charmant « tout le monde » avec les pieds bien sur terre et surtout un qui sait également me ramener sur terre aussi quand besoin y est. Bref, j'aime beaucoup quand le punitif reste purement punitif. Chaque chose en son temps. Donc désolée pour les artistes de la fessée ou les virtuoses orgasmiques de tout genre.
J'aime avant tout les claques qui ne sont pas censées de stimuler le désir, mais pour faire réfléchir.
Veut dire qu'il pleuvent pour provoquer une … douleur qui exalte mon ego en reléguant la libido aux deuxième plan. Certes, cela ne correspond pas à ce que l'on lit ci et là, mais je pense ne pas être la seule dame qui souhaite rétablir la bonne entente dans son couple en expiant la cause de la discorde sous une main ferme. Et pour que cela soit crédible, il me semble impossible de se passer de la douleur.
Enfin, je ne me moque plus des « fesseurs mécaniques» aussi parce que c'est...
...très vilain de se moquer des préférences fantasmatiques d'une autre personne, isabelle.
Dixit mon chéri qui met depuis quelques temps, après lecture de certains de mes post, un point d’honneur pour soigner ma mauvaise langue par une méthode qui a fait ses preuves. Lui qui me croyait guérie de cette fâcheuse habitude a eu la désagréable surprise de découvrir ainsi que j'avais trouvé un moyen de contourner ses interdits. J'avais beau à prétexter de l'humour, il n'a rien voulu entendre. Comme, il y a quelques années quand il m'a prise en flagrant délit avec une copine de lâcher des méchancetés sur des personnes de notre entourage. Ma copine et moi nous étions en pleine extase verbale - il est fort jouissif de se défouler de cette manière - quand nous avons découvert que mon chéri se trouvait dans la pièce. Grand moment de solitude à deux et ma copine a vite cherché un prétexte pour rentrer. Puis, plus d'une décennie plus tard, les choses qui se répètent. Un long silence avant de clamer:
Et moi qui te croyais exempte...
Bref Monsieur était vexé parce que son éducation, pourtant très stricte, n'avait pas porté les fruits espères. Lui qui aime tellement vanter mes bonnes manières. Je n'aime pas quand il me présente les choses de cet air-là. Cela sent le brûlé, littéralement. J'ai l'impression de le voir penser. Non, il ne sortira pas le martinet. Ni même la canne. Il a besoin de se défouler sur mon postérieur de la façon la plus classique. L'affaire se passera bien intimiste entre sa main et la peau de mes fesses. Et pour que je déguste le plat qui m'attend a sa juste valeur, il convient que je me présente toute nue à ma punition. Il me semble futile de comparer ma résistance avec la dame dans ce clip. Idem pour la capacité de mon homme pour « s'arracher un bras ». Nous aimons aller à notre rythme. Mais notons-le, la petite dame de ce clip n'a rien d'une pleurnicharde comme moi qui fond au larmes après une minute quand le traitement est vraiment intense. Enfin une minute dans les meilleurs des cas...