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Channel: Besoin de Discipline Domestique La Fessée en Couple
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657 Épater le monsieur

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Un peu de distraction pour les vacances !


Quand j'étais célibataire la flemme de me mettre en tenue de gym pour ma séance quotidienne me prenait souvent. Alors je m'appliquai seulement vêtue d'un soutien-gorge en transpirant à grosses gouttes. L’admet que ce n'est pas très glamour, mais il s'agit d'entretenir efficacement son corps en vue de mettre de son côté tous les atouts pour faire un jour ou un autre la plus belle rencontre de sa vie. Certes cela ne se dit plus de nos jours de faire des efforts pour attirer par son physique. Mais entre une transformation complète en aguicheuse et une dame plaisante à regarder il y a tout un monde. Enfin, on a compris ma motivation pour être régulière dans mes exercices. La carotte en tête (admirons ce superbe symbolisme) j'avais la hargne qu'il faut pour travailler sur mon corps.

Après l'effort la récompense !

Une fois ma séance finie, j'allais me délasser sous la douche ou le week-end dans ma baignoire. Et pour que ma détente soit parfaite, je me laissais aller aux jeux de la vilaine main. Parfois même sans rien imaginer, seulement en prenant... plaisir. C'est en commençant la vie en commune avec mon chéri que s'est posée la question de se créer une intimité à deux, veut dire...

.adapter ses habitudes secrètes à la présence d'une autre personne.

Au début je faisais ma gym en string et soutien-gorge jusqu'à ce que mon chéri me dise un jour...

...pour ce qu'un string couvre, pas la peine d'en mettre un, isabelle !

Effectivement, non pas sans plaisir, j'ai pris bonne note, en dévoilant sans la moindre gêne mes parties les plus intimes au fil des exercices devant mon chéri qui s'était découvert subitement une passion pour la gym féminine. Toutefois, n'étant pas encore définitivement épilée à cette époque, je me suis trouvée un matin devant une petite et gentillette moquerie de mon chéri :

Un jour sans bic c'est la barbe !


Alors j'ai décidé désormais, outre de me brosser les dents et de me laver les parties intimes, aussi de procéder en même temps au soigneux rasage de mon entrejambe dès ma sortie du lit. Une fois le coup de main pris cela prend à peine trois minutes. Sans oublier de me passer - recto et verso- une huile hydratante pour éviter les rougeurs. Ce matin-là, j'ai vu le tilt dans les yeux de mon chéri, me découvrant si lisse et si luisante. Il ne savais pas - littéralement- par où s'y prendre. Et il en va de soi que ma séance de gym à pris une tournure particulière...

658 Mémoires d'une éducation sévère 2.2

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2.2 Graine de fessée et clair de lune


La solution de l’énigme se trouvait auprès de Nadège.

Poussée par une curiosité incandescente Lucie, se mit alors à espionner la maison de la voisine la nuit venue quand sa tutrice la croyait sagement dans sa chambre. Ses efforts manquèrent rarement de récompense. Bien que les volets fussent fermés, elles ne firent pas obstacle aux bruits compromettants et quelques bribes de conversation. Protégée par l’ambiance nocturne, Lucie savoura à maintes reprises les concerts fessières qui la mirent infailliblement dans un drôle d’état auquel elle prit de plus en plus goût. Elle se plaisait énormément dans son rôle de « voyeuse auditive ».

Habituellement elle se glissait après un beau concert toute émoustillée dans son lit pour se consacrer à la découverte de son corps en imaginant ce que les volets ne permettaient point d’observer. Mais un beau soir d’été avec (et après !) un magnifique clair de lune, en restant un peu plus longtemps pour respirer la proximité de ses complices involontaires ,un nouvel rebondissement accéléra son imagination vers un point de non retour. La fessée finie elle s’attendait que la lumière allât s’allumer dans la chambre de la malheureuse élève. Or rien ne fut. D’abord elle entendit des voix de la chambre de Nadège, puis de tendres bruissements qui se transformèrent vite en petits cris voluptueux. Bientôt elle assista à de véritables manifestations de plaisir venant de la part de la punie qu’elle avait imaginé jusque là en innocente proie d’une austère gouvernante.

Elle se souvint de suite des paroles de la fille :

mais tu ne peux pas comprendre… 

Oh que si ! Lucie avait enfin une piste pour comprendre l’enthousiasme pour les méthodes de Nadège. La dernière ne savait apparemment pas uniquement châtier quand il le fallait, mais elle appliquait également un système de récompense de plus intriguant quand il eut mérite. Plus tard dans son lit, pour la première fois de sa vie, Lucie s’imagina à la place de la fille sous la tutelle de Nadège. Ses activités solitaires lui procurèrent des sensations qu’elle n’eut jamais soupçonnée. Mais une fois l’ivresse apaisée, elle resta seule avec une honte qui semblait terriblement étouffante et elle se jura de ne plus jamais espionner le ménage de la troublante voisine.

Désormais Lucie se sentit prisonnière d’une cruelle tenaille qui semblait l’écraser entre son envie de rébellion contre le monde des éducatrices et son désir inavoué de subir un traitement intense, appliqué avec fermeté par la main de Nadège. Elle eut bon de tourner la question dans tous les sens, elle ne trouva aucune solution contre les élans brûlants que son corps lui imposait. Impuissante de résister à cette marré déferlante sa colère se détourna de Nadège pour se diriger contre d’autres cibles. Elle commit de nombreux actes de désobéissance envers sa tutrice ou envers les réglés de bonne conduite au village, ce qui lui valut vite la réputation d’une fille difficile et peu fréquentable. Ses copines par contre la vénéraient pour ses audaces et tentèrent d’imiter son comportement.

Inquiétée de son changement, Lucie - de plus en plus malheureuse – pensait souvent à ce que l’élève de Nadège lui avait avoué en toute confiance :

je ne me suis jamais sentie aussi bien dans ma peau que depuis elle s’occupe de moi … malgré les marques sur mes fesses…

Lucie était une fille douce, curieuse envers la vie et désespérément romantique, mais aussi dotée d’une énergie débordante et d’un sens pragmatique. Son nouveau rôle ne lui convenait pas. Elle n’avait aucune envie de s’abandonner à la dérive et quand elle apprit le départ de sa tutrice pour le début des vacances d’été, elle étudia avec attention la liste des places proposées chez les autres éducatrices. Son cœur se mit à trembler quand elle découvrit le nom de Nadège parmi eux. Après une rude nuit sans sommeil sa décision était prise. Elle n’avait pas à inquiéter sur le succès de sa candidature. Personne ne voulait une telle place. Nadège faisait trop peur aux autres filles. C’est ainsi que Lucie entamait un apprentissage singulier qui mérite d’être raconté en détail.

A suivre

659 Liens de discipline domestique (154 ème édition)

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Au menu cette semaine : Mise au coin....

.... après une de corsée

Ce n'est pas un instant de glamour et loin de moi de faire la fière. Il n'y a pas de sensation de « jeu », mais l'impression d'un véritable rapport d'autorité. Malgré tout le politiquement correct de nos jours, je serais tentée de dire que ma vérité humaine, celle qui décide ce qui est jouissif ou pas pour moi, s'épanouit parce que mon homme sait se montrer autoritaire. Parce qu'il sait prendre les choses en main. Parce qu'il sait s'imposer d'une manière qui me comble.

Toutefois il y a une différence de taille avec la condition féminine d'un autre âge.

J'ai pu faire un libre choix pour vivre ce que j'ai envie vivre. Ce sont les conséquence de ce libre choix qui me donnent un sentiment délicieux pervers, d'être vilaine et de mériter mes corrections, d'avoir besoin d'une main ferme, d'avoir besoin d'être tenue sur le bon chemin, d'avoir besoin d'être corrigée pour ce qui me semble un mauvais comportement ou une faute.

Pour bien me comprendre, ce qui me donne les émotions fortes, c'est le fait d'être punie.. .

Sonore et solide (petit clip)

Voila qui me semble bien réaliste comme punition, notamment concernant les plaintes de la dame. Pour ma part j'en fait de même, mais hors de question de me sauver des genoux de mon homme. Il y a un grand besoin de sentir sa main ferme, un besoin aussi de sentir s’accroître la brûlure dans mes fesses. Parfois j'ai besoin de me défouler verbalement, parfois je saute dans tous les sens et parfois les deux à la fois. Puis vient l'instant du laisser aller, un glissement de mes cris de colère vers les larmes. Certes, cela ne m'épargne pas le coin et je pense avoir pris tellement habitude de cette pratique qu'elle me semble indispensable pour retrouver la tête haute... enfin beaucoup plus tard.


Ne cherchons pas toujours du côté de la grosse fessée pour faire plaisir. Ce sont parfois les gestes les plus tendres qui me font le plus de l'effet. La douceur d'une main qui remonte mes jambes pour se glisser sous ma robe ou jupe. Le contact de mon derrière tout nu avec le pantalon de mon homme pour sentir une virilité en plein essor. Tenir un blog de fessée fausse facilement la réalité. N'oublions donc pas les câlins.


Je reste brève cette semaine, car je me trouve en vacances dans une magnifique région (...avec un internet 2G !). Je ne saurais dire s'il y aura mon lundi cinéma à cause le l'incertitude de pouvoir visionner des clips. J'hésite pour l'instant de commenter un clip dont j'ai le lien, mais que j'avais vu il y a quelques semaines...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !





















660 La fessée entre copines (Lundi cinéma)

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Se défouler sur le derrière de sa meilleure copine...


Je pense outre de la découverte que la fantaisie est capable de procurer une forte excitation au corps, il reste également comme étape importante dans une vie le passage à l'acte. Et bien que les situations punitives ont toujours hantées mon imaginaire, mieux vaut se lancer dans « la fessée pour de vrai » après avoir expérimenté la sensation de fortes claques.

Parfois le décalage entre fantaisie et réalité s'avère frappant !

Non, ce n'est pas typiquement allemand de faire des jeux entre ados pour se taper sur les fesses. Et il n'est pas typiquement allemand non plus de se claquer les derrières entre copines avec des verges de boulotdans le sauna de ses parents. En absence de ces derniers bien sûr. Donc quand je parle de certains de mes souvenirs il s'agit plutôt d'un concours de circonstances. Loin de moi de sortir ici le genre d'histoire, censée d'expliquer les méandres de ma libido de A à Z par un événement survenu à un moment de ma vie. Pour ma part je n'y crois pas dans de telles histoires. Leur but me semble avant tout que la personne qui la raconte essaye de se rassurer soi-même.

Se rassurer sur quoi d'ailleurs ?Que cette vilaine fantaisie vienne de l’extérieur !

Que autrui nous ait initié au vice, entraîné dans la perversion ? On comprend mieux pourquoi les analystes de la première heure se sont penchés sur la théorie de la séduction. Parce que cette théorie est en fait comme son nom indique bien séduisante. Prenons comme exemple mes rêveries de jeune ado dans lesquelles je m'enfermai dans une passivité sécurisante. En attendant mon tour. Concernant la fessée, je me suis vue séduite par tant de personnes de mon entourage. Chacune d'elle avait une bonne raison dans ma fantaisie pour m'apprendre les bonnes manières. Pour me remettre dans le droit chemin. Il y avait certes une mise en scène de séduction, mais sans un terrain favorable de ma part, jamais j'aurais abordé de telles constructions jouissives.

Alors si on veut mieux comprendre son fantasme de fessée, mieux vaut se pencher sur un soigneux examen de son terrain favorable !

Puis sont arrivés les jours froides dans mon pays. Quelqu'un a eu l'heureuse idée de faire du sauna entre copines. Une fois sur place, il a vite germé l'idée d'utiliser le fouet du sauna. Voila qui montre que le fantasme de la fessée ou disons dans un sens plus large de la flagellation hante bien l'imaginaire collectif et peut-être en particulier celui des filles.

Bref subitement on ose, car c'est pour la bonne cause, stimuler la circulation sanguine.

Certes cela n'a rien à voir avec une vraie fessée. Mais cela suffit pour se rendre compte que la sensation provoque un sacré remue-ménage dans l'entre-jambe. Qui reste imperceptible, car tout le monde transpire fortement … à cet endroit aussi. Phénomène purement physique à la base qui donne l'impression par l'aspect luisant que tout le monde se trouve dans un état secondaire. Et il se peut que l'excitation envahit vraiment certains esprits quand on se fie à l'intensité de l'application du fouet de sauna.

A vrai dire j'aurais préféré une situation plus intimiste comme montre le clip, se chauffer mutuellement les fesses entre filles. Avec ma meilleure copine et pour de bon. Se claquer mutuellement et surtout fortement sur les fesses pour voir si cela fait mal. Si cela se révèle aussi excitant que la fantaisie punitive. Un peu à l'image de ce magnifique extrait de Venus Erotica d'Anaïs Nin :

Leila saisit sa cravache et la laissa retomber, pas trop fort, sur Bijou.
Bijou dit :Ça donne encore plus chaud.

-C'est ce que je veux ; je veux que tu sois brûlante, si brûlante que tu ne puisses plus le supporter.

Bijou ne bougeait pas. Leila se servit de la cravache une nouvelle fois, et laissa une marque rouge. Bijou dit : C'est si chaud, Leila.

- Je veux que tu brûles à cet endroit - que tu brûles jusqu'à ne plus pouvoir le supporter.

On s'imagine quand j'ai rencontré mon homme, je voulais à tout pris faire du sauna avec lui. Lui, assez pudique avait peur que mes parents arrivent à l'improviste. Mais quand je lui ai parlé de me donner une très vigoureuse fessée, il a changé d'avis. Ce fut un moment plaisant. Tous les deux nus, il n'a pas ménagé mon derrière. Plaisir de sueur qui fait glisser. Plaisir de sentir réagir le corps de mon homme. Sentir que le fait de me fesser lui provoque une belle érection. Se sentir sur la même longueur d'onde. Il en va de soi que nous avons profité de l'instant et de nos corps si glissants pour enchaîner sur autre chose...

661 Mon blog a trois ans

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Même si mon hébergeur m'annonçait que mon blog devait disparaître demain, je posterai un article aujourd'hui encore.

Jolie phrase (quelque peu déformée par mes soins) attribuée au grand réformateur allemand Martin Luther. « Copain » de Calvin qui pour sa part a lancé la mode du puritanisme. Voila pour dire que blogger à partir du 23 mars 2015 va rendre « infréquentable » ….

... les blogs où sont  publiées des images ou des vidéos montrant de la nudité ou à caractère sexuel explicite.

C'est le jour de mon anniversaire de blog que je reçois ce message, envoyé à toutes les personnes ayant un blog étiqueté adultes. Une journée où je me tape une fièvre carabinée. Sans parler de la tempête de neige dehors et d'une connexion 2G.

A priori cette modification ne me concerne pas.

Car sur mon blog ne se trouvent ni d'images, ni de vidéos ! Mais qu'en est-il pour les blogs comme le mien qui se servent des liens vers un tel matériel ?

Ma motivation de bloguese !

Pouvoir éditer moi-même mes textes et les rendre accessibles à un grand public. Sans prise de tête. Donc pas d’intérêt du tout pour moi d'un blog privé. Puis - et ceci est bien inspiré de la grande littérature allemande - toujours construire un article autour d'une information utile. Normalement cela concerne mes recherche sur la construction du fantasme de la fessée. Par contre aujourd'hui je pense à toutes les personnes qui mettent beaucoup de leur temps pour construire un joli blog et qui risquent de se le faire sucrer par notre hébergeur.

Alors comment faire pour aller ailleurs ?

Aller dans l'administration, paramètres, puis « autres » et cliquer sur « exporter le blog ». Opération sans risque que j'effectue depuis des années régulièrement et qui me donne un fichier xml qui contient vraiment tout !

Quel hébergeur choisir ?

Il n'y en a que deux qui me paraissent intéressants. Wordpress et Overblog. La raison : La qualité de référencement. J'aime du monde sur mon blog. Notons qu'autant wordpress que overblog sont beaucoup plus performants à ce niveau que blogger.

Pourquoi je ne suis pas déjà chez overblog ou wordpress ?

J'y suis. J'ai mes anciens blogs en copie chez wordpress en mode privé, car wordpress garantit un hébergement à vie. Idem ce blog-ci. Hélas, en version gratuite il est impossible de mettre un « disclaimer » pour signaler un contenu pour adultes. Acheter un domaine dépasse les 100 euros, mais bon, niveau visiteurs pas de comparaison avec blogger. Puis on est lu par des « gens influents». J'ai eu pas mal de contacts via wordpress dans le temps et même une invitation à Paris par Elle/Wikio. J'étais sélectionnée avec 14 autres blogueuses (dont Agnes Girard et Maja Mazaurette) pour l'élection de la blogueuse la plus influente de France dans la catégorie sex/love. (Flattée la petite isabelle)

Chez overblog, un bon hébergeur français, en version gratuite les blogs pour adultes sont envahis de publicité immonde. Voila pour donner une idée. Pour une somme assez modique (bien en dessous de 100euros), il n'y aura plus de problèmes. J'y pense. Avant d'acheter mon domaine, je vais faire un tour chez tumblr, plate-forme à haut risque pour le non-respect du copyright ; ils virent sans préavis; domaine qui ne me concerne pas. Pas inintéressant pour pas mal de blogs sur notre sujet, tenus par des personnes qui créent leur propre contenu.

Pour finir...ne jamais oublier les visiteurs qui passent sans laisser un mot.

Mériterait bien une ! (Petit clip)

Bon, loin de moi de participer à des événements lurkers. Je n'ai pas un tempérament non plus à inciter qui que ce soit à commenter. Donc comme bonus pour aujourd'hui un petit clip que j'aime bien, dédicacé à toutes les dames qui aiment voir le grand garçon émerveillé dans le yeux de leur compagnon et qui vont parfois loin dans leur jeu de séduction.


662 Liens de discipline domestique (154 ème édition)

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Au menu cette semaine : Les rêveries de nos grands garçons


Blogger fait marche-arrière ! Ouf ! N'étant pas directement concernée par la nouvelle politique, j'étais tout de même à deux doigts de m'acheter un nom de domaine. Passons. Cela tombe bien, car j'ai envie justement de faire quelques textes plus explicites. On se comprends, je veux dire par là, façon isabelle.

Pour amateurs de discipline scolaire

Il n'y a pas que mon chéri qui aime de telles images (Merci Ellie !). De grandes filles qui jouent à l'écolière pour narguer Monsieur le Professeur. Alors fortement inspirés et sous prétexte de l'art, mon homme et ses copains aiment se laisser aller pour raconter des anecdotes que les moins de … 40 ans ne peuvent pas connaître. Il n'est pas le but de mon blog à raconter ce qui se passait quand ces messieurs furent enfants ou ados, mais je retiens toutefois un certain enthousiasme pour la fessée.

Comme un châtiment pas bien méchant et plus souvent promis que réellement appliqué.

Je pense que si certaines filles se plaisent dans la nostalgie de la grande écolière qui fera maintenant bien différent les choses qu'à l'époque, il est tout autant compréhensible que certains messieurs aiment se projeter à la place d'un professeur. Et quel bonheur pour nos grands garçons de disposer d'un joker suprême...

.le droit de déculotter les désobéissantes files pour leur appliquer une bonne fessée.

Notons que comme beaucoup de dames, j'ai rencontré pas mal de princes charmants qui devraient prendre leur courage en main quand la dame émet désespérément des signes pour que le monsieur passe à l'acte. Je ne dis pas cela uniquement pour la fessée...

Une solide fessée (petit clip)

Mon chéri adoré se trimbale depuis son adolescence un rapport quelque peu ambivalent avec les filles en jeans. Certes, il adore admirer mon derrière dans un jean bien coupé et qui moule mes formes. Enfin admirer ce n'est pas le terme exact, le jeans le titille autant dans sa grande que dans sa petite tête. Il suffit de voir sa joie quand je me rend coupable dans pareille tenue....

.d'une bêtise de taille qui est habituellement sanctionnée chez nous par la fessée.

Comme il devient sérieux, comme il réfléchit sur la meilleure manière de me déculotter, comme il passe du temps à commenter ce que je porte sous mon jeans. Tout un cérémoniel qu'il sait bien faire durer. Quant à ma correction elle-même, elle restera moins longue que ce clip. Toutefois concernant ce dernier, reste ouverte une question :

Pourquoi le monsieur ne déculotte pas la dame ?

De peur de se faire sucrer son blog ? Je sais, ne jamais embêter ses visiteurs avec de problèmes techniques concernant son blog.


Genre hyper créatif. Un pur plaisir d'ajouter ces dames prometteuses dans mes liens permanents.

Pas vraiment mon monde...(petit clip)

….mais je préfère cela aux productions P. A vrai dire, je devrais être la cible idéale pour les 50 nuances, ainsi que toutes les histoires dérivées en ce sens. Déjà je trouve rien à redire contre le film, le vrai, qui vient de sortir. De plus c'est du féminisme pur, une dame qui parle des tendances sadiques du monsieur qu'elle aime et qui de plus, elle, se révèle encore plus sadique que lui. Au bout de 1500 page, quick, elle arrive à lui couper... ses élan le plus pervers. Mais bon, faut pas dire cela aux garçons qui croient que la vraie soumise (celle qui fait cela par plaisir!) existe.

(Toujours malade, j'espère retrouver mon mordant ma vitesse de croisière la semaine prochaine!)

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !





















663 Un fantasme bon enfant (Lundi cinéma)

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Quand la jolie infirmière donne un...


J'avais déjà parlé de ce sujet ici, matériel visuel à l'appui,mais je ne puis résister pour vous montrer cette trouvaille. Je trouvé ce petit clip tellement adorable que j'aie envie une de ces mâtinées quand mon chéri a envie de se plaindre de sa santé (cela lui arrive assez rarement !) pour me présenter devant lui dans ma tenue d'infirmière. Achetée dans un magasin de farces et attrapes et qui a servie une année pour le carnaval. Sans oublier le petit chichi pour les cheveux qui va avec. Pour faire plus crédible. D'ailleurs mon homme connaît bien son infirmière privé et il se méfie généralement quand il la voit rappliquer avec les gants en latex, le tube de vaseline et le thermomètre entre les mains. Avec d'autres mots, il aime beaucoup me déculotter , de mettre me fesses à l'air, mais pour sa part il n'aime pas trop se trouver dans le cas contraire. Pour ma part par contre, je prends mon pied pour lui rendre la pareille. Ne me méprenons pas. Je me verrais mal le fesser. Mais je suis facilement partante pour tout genre de jeux ambigus qui jouent sur le flou qui existe entre un acte purement médical d'un côté et la nudité imposée et les attouchement aux endroits sensibles de l'autre côté.

Puis c'est tellement agréable de voir un homme baisser sur commande son pantalon devant une dame !

A ce niveau, rien à dire, mon chéri se laisse faire. D'abord son éternel 501, puis un son caleçon. Bref, il connaît la musique. Par contre je suis sure qu'il ne s'attendra pas pour le moins du monde que je débute ma prestation par un :

N'ayez pas peur, jeune homme, je vais vous montrer d'abord exactement ce qui va se passer...

« Chorégraphie » d'une simplicité déconcertante dans un but purement médical. Sans trop rentrer dans les détails, il s'avère que le passage de « Nurse isabelle » lui procure à chaque fois un coup de fouet pour le remettre sur ses pieds. Oublié le bobo. Et je ne parle pas de la libido.

Notons l'effet frappant sur bon nombre de messieurs quand la fille devant leurs yeux se met quelque chose dans son... enfin, vous m'avez comprise.

Par contre moi, je n'ai su percer à ce jour le mystère de cette fascination de nos grands garçons.

A moins que ce clip réactive certains souvenirs du fameux catalogue « La redoute », bien connu par les hommes d'un certain âge comme une publication qui permet en toute tranquillité de regarder les filles en sous-vêtements. N'oublions pas l'appareil de massage qu'y apparaît , si évocateur par sa forme et semblant quelque peu inadapté pour les joues d'une dame.

Peut-être ce clip joue sur la découverte de la différence entre filles et garçons et qui apparaît comme sujet d’arrière plan.

Pour finir une association perso. Ben oui ! Mon blog est truffé d'associations persos et je suis toujours contente de découvrir celles de mes lecteurs.

C'est beaucoup plus intéressant, je trouve que le histoires de c..l.

Alors je m'imagine, en jouant à la vilaine infirmière isabelle, celle qui incite le monsieur à explorer ou du moins à contempler les chemins de traverse, rappelée à l'ordre par une dame qui défend les mœurs par les « bonnes, veilles méthodes ». Pas la peine de me déculotter. Il suffit de retirer le thermomètre pour m'appliquer une très claquante fessée. Et mon homme dans tout cela ?

Il sera ravi du spectacle et le terme est faible !

664 Confessions modernes

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...ou la psychanalyse romantique

Bien de personnes imaginent en entendant le mot psychanalyse un moelleux canapé sur lequel on s'allonge pour raconter en long et en large ses fantasmes sexuels. De préférence avec un psy voyeur et complice, plus ou moins pervers selon les goûts, ne se privant pas – avec l’œil supposé lubrique dans notre dos - de nous demander encore et encore des précisions et qui n'hésite pas de nous faire cuire par quelques brèves interjections d'un vocabulaire incompréhensible. Et le patient, tremblant devant le verdict, se laisse entraîner dans un interrogatoire qui commence à le stresser de plus en plus. Avant d'oser enfin, quand il ne sait vraiment plus quoi dire, devant un silence insoutenable de notre analyste, à poser la question fatidique :

Est-ce que grave docteur ?

Voila une situation qui ressemble comme une goûte d'eau à un scénario de fessée dans lequel la vilaine fille sort toujours perdante. Ou gagnante selon le point de vue. Bref, elle va se faire déculotter pour prendre pour son grade. Et voilà la fameuse construction d'un transfert. L'analyste pris pour une sorte de père fouettard, que dis-je, sorte de grand maître de cérémonie sadomasochiste cérébrale, censé de nous amputer par les mots de nos vilains penchants, de nous castrer en quelque sorte par un langage aiguisé. Suprême « jouissance de la non-jouissance » (Michel Mongiat ; Les masochismes). Pour préparer notre vœux les plus sage de pouvoir dire à notre entourage :

Depuis que je visite mon psy j'ai une libido de plus en plus fréquentable !

Pour éviter tout malentendu, notons ici avant tout la différence entre un psychiatre, un médecin donc, censé de guérir notre âme et un psychanalyste, qui n'a pas besoin d'être médecin et qui est censé de nous faire découvrir notre « besoin inconscient et de le rendre maniable » (en bas de l'écran).

Retournons maintenant à nos martinetsmoutons. Ben non ! Notre psy (analyste) n'accomplit pas le même rôle que la gouvernante de nos fantaisies sous la couette. Il ne nous punit pour notre perversité. Celle qui nous fait frissonner rien qu'à l'évoquer son contenu. Rien qu'en apercevant dans notre vie des tous les jours des éléments qui s'y rapportent. Rien qu'en entendant une personne qui fait une allusion dans le sens de notre péché mignon.

Parlez-moi encore de vos envies de mordre dans la saucisse isabelle !

On pourrait voir dans ma petite animation en langage de psy un processus d'identification qui passe par la dévoration fantasmatique de l'attribut viril par la dame. Avec des mots simples une dame qui se verrait bien en garçon dans ces fantasmes. Et parce que cette mignonne scène, transposée dans la réalité, pourrait s’avérer fort dangereuse pour le monsieur, voire mortelle, il y a tout un cortège de culpabilisation qui risque de se coller dans la tête de la dame et qui demande à juste titre châtiment. Alors à chaque fois quand je me glisse sous la table ou ailleurs entre les jambes de mon homme pour lui procurer une belle détente, j'ai mon besoin de punition qui se réveille. Parce mes envies envers son truc ne sont pas que de nature purement sexuelle, mais aussi de nature agressive, niaque avec mes belles dents pour m'emparer l'objet de ma convoitise. Enfin là nous sommes en pleine interprétation.

Bref quand je fais une sucette à mon homme, j'ai souvent envie que l'on me donne après une sonore fessée pour mon audace.

Je me souviens ado à la découverte du monde des princes charmants souhaitant ardemment de solides fessées en rentrant tard à la maison. Malheureusement (sur un niveau fantasmatique) personne ne m'attendait le martinet en main. De l'autre côté quand j'ai reçu une sonore fessée ludique, j'adore que mon homme ouvre sa braguette pour que le remercie duement pour ses efforts. Je me ressens dans un état de comble excitation sans mauvaise conscience. Je ne vais pas m'attarder ici sur le rôle évident de la fessée dans ces deux constellations.

Psychanalyse réelle ou romantique, de comptoir comme disent certaines mauvaises langues ?

Que chacun se fasse son idée à sa guise. Toutefois gardons le B-moll essentiel pour la fin :

Un psy aussi craquant qu'il soit ne punit pas et donne par conséquence pas de fessée....

665 Mémoires d'une éducation sévère 5

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3.1 Une fessée de bienvenue

Lucie respira profondément avant de frapper à la porte de Nadège pour se présenter.

L’univers qu’elle avait imaginé à tant de reprises allait enfin s’ouvrir devant ses yeux. Elle ne connaissait Nadège que superficiellement comme une voisine avec laquelle on entretient pas d’autres rapports que ceux du bon voisinage. Elle ne se souvenait pas d’avoir eu une seule discussion avec cette femme. En attendant d’être reçue, son regard survolait le petit jardin qui reflétait un entretien méticuleux et intense qui rendait cet endroit particulièrement attachant. Elle n'avait jamais pris le temps de le contempler à la lueur de jour et ses escapades nocturnes lui parurent si lointaines. Elle réalisa subitement que sa décision n’avait pas été dictée par sa raison. La vraie motivation venait de « plus bas » pour ainsi dire. Elle eut - pendant un bref instant - l’envie de fuir de toute vitesse de peur de commettre la bêtise de sa vie.

Nadège ne se laissa pas attendre. Elle ouvrit grand la porte puis prit un temps qui apparaissait interminable à Lucie, pour la scruter de la tête au pied avant de prononcer le verdict sur un ton désapprouvé et sec.

Je ne partage pas la liberté sur la tenue vestimentaire de ton ancienne tutrice. Je pense qu’un changement radical s’imposera. Je connais bien ta réputation au village. Nous allons profiter de tes vacances pour remettre les pendules à l’heure au plus vite. Tu seras consignée à la maison dans un premier temps jusqu’à ce qu’amélioration se dessine. Nous allons travailler d'arrache-pied sur ton comportement pour acquérir les bases d’une conduite irréprochable qui se doit pour une fille de ton âge.

Te voila prévenue Lucie. Je ne te force pas la main, mais si tu franchis le seuil de cette porte cet accord entre nous deux entre immédiatement en vigueur. Je te laisse encore un peu temps pour y réfléchir, si tu veux.

Lucie, intimidée, baissa les yeux et prit sa valise (ainsi que son courage) en main.

Je ne suis pas une fille qui revient sur sa décision, dit-elle à petite voix, puis-je entrer ? 

Tu marques un bon point avec moi. J’apprécie cet état d’esprit.

Quand la porte se fermait derrière Lucie, l’austérité sur le visage de Nadège se dissipait, laissant place à une chaleureuse expression qui fit du bien à notre héroïne. A sa grande surprise, Nadège la prit dans ses bras en disant :

Sois la bienvenue dans ta nouvelle maison, Lucie. Tu trouveras en moi une confidente toujours à ton écoute quand tu en auras besoin. Tu peux me parler de tout. N’hésite pas au cas où. Par contre évite les coups en douce, si tu ne veux pas t’exposer à des sanctions. Et maintenant suis moi que te familiarise avec les lieux.

Le nouveau décor plaisait beaucoup à Lucie. Elle se vit attribuée une chambre de plus coquette. Apparemment Nadège disposait de moyens confortables. Elle insista que Lucie défasse de suite ses bagages et surveilla le rangement des affaires en donnant des consignes à respecter.

Tu es tenue de garder ta chambre impeccable en permanence. Y compris à l’intérieur des meubles. C’est un coup à prendre et je contrôlerai régulièrement pour que tu ne relâches pas ta vigilance.

Une heure plus tard Lucie se trouva avec Nadège dans la cuisine devant une tisane (elle avait horreur de ce genre de boisson) pour une discussion sérieuse entre femmes. De sa place elle avait une vue imprenable sur un coin de la pièce qui semblait être destiné à de buts éducatifs et où était accroché un vieux martinet qui reflétait un usage fréquent.

A suivre

666 Liens de discipline domestique (155 ème édition)

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Au menu cette semaine : Histoires de petites dames


Une telle situation ne m'inspire pas pour une soirée à thème. Je préférai que la fessée s'impose à partir d'une situation non construite d'avance comme cette correction estivale. D'une profonde complicité entre filles, quitte à se comporter en gamines insolentes pour attiser l'envie de ces messieurs pour déculotter les dames. Alors partager le coin avec une bonne amie, les fesses toutes rouges, les culottes baissées, en faisant du spectacle pour les yeux des messieurs pourquoi pas. Du moins, je ne pense pas d'être gênée par la situation. Je nous verrais bien en train d'improviser un concert de rires bêtes, nerveux comme aime dire mon homme. Ce rire qui est bien souvent révélateur de quelque chose. Sorte d'autodérison, causée par la gênée, pour souhaiter ardemment en étant adulte, se trouver bruyamment fessée, puis envoyée au coin. Il en va de soi que savoir partager un tel fantasme avec sa meilleure copine peut être un agrément de la vie... qui réveille la nostalgie de mon adolescence quand je faisais tout avec ma meilleure copine.


Voila un sous-vêtement féminin qui inspire certains hommes, surtout en bande à des heures tardives de la soirée, à la franche rigolade. Ben oui ! Ils osent. Habituellement quand mon chéri papote avec ses amis (d'adorables messieurs d'un certain âge), je me fais toute petite sur mon canapé, en me vernissant mes ongles sans pour autant perdre une miette. Et quand par malheur je les entend se moquer des gaines par exemple, les vraies qui servent à tenir les bas bien en place, il arrive que je me manifeste bruyamment :

...n'avez pas honte les garçons de vous moquer des filles ?

Vous allez pas nous faire croire qu'il existe encore des femmes qui en portent, isabelle ?

Ben si . Moi !

Là, mon chéri aime plutôt se faire discret et se contente de hocher sa tête pour confirmer. Et moi je me marre de ces grands garçons qui essayent d'imaginer mes bas couture tenus par cette horrible chose que portais jadis leur maman. Car, il ne faut pas croire que les images glamour des années 50 à 70 représentent le quotidien féminin de l'époque. Les bas se fixaient aux gaines et le porte-jarretelles servait exclusivement à faire tourner la tête de son amoureux. Parole de ma maman qui m'a donné de jolis cours de séduction quand j'étais en âge de pouvoir me servir de tels secrets. Mais bon, vu que je vis avec un homme qui adore sa petite femme et qui s’intéresse intensément à elle, je varie ce que je porte sous mes jupes, robes et aussi pantalons pour le surprendre. Notons que parfois quand il est excédé de ma mauvaise fois, il lui échappe un :

Ta mère, isabelle aurait dû te...

...me baisser ma gaine culotte pour me donner la fessée, chéri ?


Il ne s'en vantent pas nos grands garçons qui ont reçus dans leur jeunesse de bonnes déculottées. Que ce soit arrivé dans la réalité ou dans leurs fantasmes, peu importe. Je le vois avec mon chéri comme il aime passer sur ce sujet. Disons qu'il a vraiment une solide d'expérience de « première main »....

.comment éduquer une grande fille comme moi sans déraper dans les applications et sans oublier l'impacte psychologique.

Pour me laisser après l'acte dans l'agréable sensation d'avoir été punie à la hauteur de mon méfait sans qu'il y ait la moindre notion de maltraitance fessière. Il y a nécessité que je voie parfois - quand j'ai été vraiment odieuse - les marques si chères à mes fantaisies sans toutefois qu'elles persistent plus que quelques heures. Mais plus important encore que le contexte visuel, auditif et physiologique (y compris la luisance de l'entrejambe), me semble que la personne qui m'a punie sache créer une ambiance de réhabilitation sécurisante qui ne laisse aucun doute sur le fait d'être pardonnée et à nouveau pleinement aimée...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !











La DD, c'est savoir éduquer (trois clips ; ben oui !)











667 Ma fascination pour les doubles stries (Lundi cinéma)

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Quand la punition marque autant le corps que l'esprit !

Pour bien cadrer mon sujet, j'aimerais d'abord pointer sur ce petit clip qui montre que l'application de la canne n'est pas forcement à confondre avec un massacre sur les fesses. Certes, dans mes fantasmes une correction ne peut jamais être assez forte. Comprenons par là que la rêverie met en rapport direct la douleur imaginée et l'excitation réellement ressentie. Dans le sens que plus la douleur augmente, plus le plaisir est intense.

Équation qui ne correspond pas forcement à la réalité de tout le monde.

Quand je me trouve réellement devant ma punition, je n'ai pas l'impression d'une partie d'excitant plaisir. Plutôt d'un sentiment d'avoir mérité ma ration, d'avoir besoin d'être corrigée. D'une atmosphère lourdement chargée qui se languit qu'un orage purificateur éclate sur mes fesses. Avec une petite pointe d'un trouble joliment pervers au fond de moi qui reste avant tout cérébral. Quand mon homme fait siffler la badine dans l'air pour tester sa souplesse, il en va de soi que je ne fasse pas la fière. Je sais également qu'...

...il est dans mon intérêt de bien tendre mon fessier, d'aguicher la canne comme aime dire mon chéri.

Car en choisissant la bonne position, le rembourrage de mon derrière absorbe au mieux l'impact. Même si une vraie punition dépasse le cadre plutôt ludique du clip, il ne faut pas perdre des yeux la juste mesure. L'enjeu aussi de la punition. Je ne me sens ni délinquante, ni pécheresse qui souhaite racheter le salut de son âme à n'importe quel prix. Ni même coupable d'un faux pas hors pair.

Je me sens surtout dérangée par mes mauvais comportements qui font tache.

Ces insolences, entêtements ou gros mots par-ci ou par-là. Parfois j'ai manqué de manière flagrante du respect à mon homme. J'ai donné en spectacle notre couple devant un public parce que je n'ai pas pu résister à mes pulsions. En gros, des petites choses de la vie courante qui certes réveillent mon besoin de punition, mais qui n'apparaissent nulle part dans un registre pénal que ce soit de loi humaine ou divine.

Nous restons dans une « législation personnelle » qui retrace les mesures éducatives d'un autre âge.

Éducation dans le sens propre du terme, d'apprendre à différer ses pulsions désirs ou envies. Et vu que mon autorité interne se montre défaillante devant trop d'exigences de ma part, je la projete à l’extérieur.
Notons que l'autorité que je confère ainsi à mon chéri lui va si bien. J'adore quand il prend son temps pour faire avec moi le tour de la question pour déterminer quel genre punition mérite mon comportement. C'est un peu comme un excellent polar à suspense... 

...qui met mes nerfs à vif avec cette pressante sensation de risquer de me faire pipi dans ma culotte.

Bref, pour provoquer les fameuses doubles stries, si importantes pour me procurer l'effet psychologique qui me met les conséquence de mes actes devant les yeux, qui confirment la réalité de ce qui m'est arrivée et surtout qui me rassurent que chez nous les mauvais comportements ont une suite douloureuse, il suffit de claquer un tantinet plus fort. Ce qui cause une belle brûlure, douloureuse sans être insupportable et les marques correspondantes au nombre d'applications. Soit 5 soit 10 selon la gravité de ma mauvaise conduite. Parfois mon homme estime nécessaire de « marquer le coup »  à l'anglaise :

Et pour finir, isabelle, une (ou deux) pour adultes !

Ce qui implique une ou deux applications supplémentaires (pour arriver à 6 ou très rarement à 12) que je sens bien passer. Puis après dans mon coin, j'aime beaucoup la sensation de glisser mes mains sur les stries, de les masser. Éphémères, elles disparaîtrons sous quelques heures. Voila de ce qui est de technique. Je parlerai dans un deuxième post de la signification de la canne dans l'inconscient collectif allemand, ainsi que de mes moiteurs dans l'entrejambe...

A suivre

668 Mémoires d'une éducation sévère 6

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3.2 Une fessée de bienvenue


Nadège ne tarda pas d’aiguiller la discussion vers l’essentiel.

Parle-moi de la discipline chez ton ancienne éducatrice. Recevais-tu la fessée ?

Lucie fut gênée pour répondre. Le sujet ne lui plaisait pas trop.

 … de temps en temps oui. Mais comme une grande…

Je n’aime pas cette classification entre grandes et petites, Lucie. Nous ne sommes pas entre copines. Je suis ta tutrice et toi tu es mon élève.
Pour moi l’amour d’obéissance se transmet par la peau des fesses et non au travers d’un vêtement. Par conséquence une correction s’applique toujours sur un derrière préalablement dénudé ou - si tu préfères – cul nu pour m’exprimer dans votre langage branché de jeunes filles.

Lucie rougit profondément.

Serait-ce un signe de honte ?

Elle approuva par un hochement de sa tête.

C’est de la fierté mal placé, Lucie. Tu devrais avoir honte de tout comportement qui mène vers une punition et non de la punition elle-même. Voila qui serait sain. Expier ses fautes est un acte libératoire dont tu ne peux pas encore comprendre le bienfait.

Je serais donc obligée de me déculotter avant chaque fessée ? 

Pas si vite, Lucie. Dans cette maison un simple dévoilement du postérieur est déjà un privilège qui doit se gagner par des efforts. Malheureusement nous sommes contraintes de reprendre ton éducation à zéro. Cela implique que tu seras fessée jusqu’à nouvel ordre entièrement nue pour te faire passer tes grands air. Et ce sera moi te déshabillerai. 

Stupéfaite par une telle humiliation, Lucie essaya de se défendre sans toutefois grand espoir.

Aucune fille dans ce village doit se soumettre à des telles punitions, même pas les petites.

Décidément ce vocabulaire semble te plaire. Alors, si tu insistes, tu seras traitée en toute petite tant que tu n’arrives pas à me prouver que tu saches te comporter en grande. On révisera ton statut pour Noël.

C’est pas juste.

Eh bien que cela te plaise ou pas, il en est ainsi. Puis vu que tu aimes contester, sache qu’à chaque rébellion tu perdras encore un privilège de plus.

Je ne sais pas ce que je pourrais perdre encore. Je suis déjà consignée à la maison, mes affaires sont fouillées, je serai déshabillée entièrement avant chaque fessée. Et je n’essaye même pas à imaginer qu’elle tenue tu me préserves.

Tu viens de perdre le privilège que ce soit moi qui cherchera le martinet en cas de besoin. Désormais la charge t’incombera. D’autres objections ? 

Lucie se tut. Elle venait de réaliser qu’on ne marchandait pas avec Nadège. Elle décida de changer de tactique.

Que dois-je faire pour gagner ton estime, Nadège ?

Appliquer notre règlement interne à la lettre pour l’instant et me faire confiance que je saurais te récompenser au bon moment.

Je tacherai de ne pas oublier,

répondit Lucie sur un ton particulièrement désobligeant.

Je ne tolère pas d’insolence de la part d’une élève. Il est grand temps de mettre les choses au clair entre nous Lucie. Pour l’instant il n’est pas possible d’avoir une discussion sérieuse avec toi. Nous allons attaquer le problème par la peau de tes fesses.

Lucie ne savait plus à combien de reprises elle eut désiré ardemment cette situation dans son imagination. Étrangement, mise devant les évidences, la réalité se révélait toute autre, pas excitante du tout. Dans ses fantaisies cela eut été toujours elle qui menait la danse au gré de ses inspirations. Maintenant la donnée avait changé. La Nadège de son imagination obéissait au moindre souhait de Lucie, la vraie Nadège imposait ses propres lois auxquelles il fallait se plier. Elle ne laissait aucun choix à Lucie qui comprit qu’elle risquait de perde son indépendance sur le champs, être obligée de renoncer à un idéal qui avait guidé sa vie jusque là.

Lucie n’avait jamais été une fille pudique. Elle était fière de son corps et la nudité ne la gênait pour rien au monde. Mais dans la situation qui s’annonçait, l’absence de vêtements lui pesait car elle avait une signification bien précise. Elle représentait une première étape dans un rapport de force qui s’établissait et qu’elle devrait accepter sans rechigner comme une évidence naturelle. Elle avait honte d’elle-même, honte de ce désir malicieux qui vivait en elle, qu’elle ne maîtrisait pas et qui l’incitait à se prosterner devant la volonté de Nadège. Elle maudissait sa propre faiblesse qui ne lui permettait pas de combattre et de réprimer cette despotique pulsion qui l’aguichait par ses sensations charnelles. Ainsi Lucie fut déshabillée par sa nouvelle tutrice, dut chercher toute nue le martinet et le présenter à genoux devant une Nadège qui ne dissimula point son triomphe.

Pour combler le malheur de Lucie, Nadège l’allongea sur ses genoux en indiquant de ce fait clairement la place que chacune détenait désormais dans cette maison. Bien que la fessée de bienvenu ne s’avérât pas d’une sévérité exemplaire, ce ne fut pas la rencontre avec la douleur, mais la rage et l’indignation qui poussèrent Lucie à fondre en larmes. Elles perdurent au dé là du châtiment corporel quand Lucie fit connaissance avec le coin pour se remettre de ses émotions. Pendant une demi heures elle eut l’occasion de reconsidérer ses positions envers Nadège en exposant la rougeur de son séant au bon plaisir de son éducatrice.

La peine purgée avant de rhabiller Lucie, cette dernière se vit appliquée une crème apaisante de la main de Nadège sur une surface imprégnée par les traces de la discipline. Lucie n’éprouva pas cette marque de tendresse comme une attention affective à son égard, mais comme une humiliation suprême. Néanmoins elle fut troublée par le savoir faire de sa tutrice et y prit plaisir.

669 Situer la honte qui accompagne le fantasme de la fessée

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Être le sujet de ses fantasmes

Difficile, à moins de connaître la littérature allemande sur le bout des doigts, de voir mon allusion au célèbre écrivain allemand Heinrich Mann  et son non moins célèbre roman : Le sujet de son empereur. Mais il est encore plus difficile, à moins de lire l'allemand dans le texte de savoir où je veux en venir...

...et ceci par une liberté de la traduction française pour le moins que l'on puisse dire étonnante.

Car dans l'original, lors que Mann raconte la jeunesse de son personnage, on y trouve un petite phrase qui tue et qui a su me poser d'importantes problèmes métaphysiques. En enlevant ainsi l'innocence si j'ose dire de mes petits rêveries de punition pour les placer dans un tout autre contexte, celui de la subordination envers une hiérarchie dont je ne partage pas les valeurs. Mieux encore, pour décrire l'âme d'un loyal futur sujet de son empereur, il établit un lien entre les froides puissances qui gouvernent l’Allemagne à l’époque wilhelmienne et une certaine volupté de leur obéir. Cette volupté peut sembler à ce stade du livre une pure et subjective interprétation de ma part, mais s'avère confirmée plus tard dans par les préférences de la vie sexuelle de notre « sujet ». Nous trouvons ainsi ce passage :

...cette froide puissance dans laquelle il se trouvait douloureusement engrené, faisait son orgueil. Le jour d'anniversaire du directeur on pavoisait la chaire et le tableau noir. Didier fit plus, il enguirlanda le tuyau du poêle.

Dans l'original nous trouvons à la place de « tuyau de poêle » le mot Rohrstock (la canne) !

Je me pose presque la question, si le traducteur de ce livre n'avait pas eu - comme moi - le choc de sa vie pour changer le contenu de l'original à ce point. A moins qu'il y ait une subtilité de la langue française qui m'échappe...

Étant ado, en lisant ce paragraphe j'ai marqué un net temps d’arrêt. Me rendant compte d'une grande gêne s'emparant de moi. Ce n'est pas le fait en relisant ces phrases de me « mouiller la culotte », de me sentir perverse en cachette, qui me mettait mal à l'aise, mais l'idée de me trouver un important point en commun avec un personnage (bien qu'inventée) jusque là, antipathique à souhait pour moi. De plus à cette époque j'étais encore peu familière avec le concept du masochisme social qui - jumelé avec un masochisme érogène - peut provoquer de forts émois. En gros...

... de s'enivrer de fantaisies jouissives qui tournent autour du fait de se faire corriger par un personne qui représente une autorité pour nous et d’apprécier voluptueusement ce traitement.

Notons la délicatesse de la situation qui a valu en quelque sorte toute ma compassion pour ce pauvre Didier que je voyais poussé dans un rôle de sujet par un souterrain fantasmatique défavorable. Notons aussi à quel point cette constellation semble bien expliquer la psychologie de certaines personnes, farouchement opposées à toute forme d'autorité. Il serait ô combien intéressant d'être petite souris pour mieux connaître leurs fantasmes punitives. Évidement pour faire la part des choses, il suffit de comprendre que notre libido, notre moi et nos rapports affectifs aux autres existent indépendamment des uns des autres. Ce qui veut dire avec d'autres mots que toutes les constellations imaginables puissent exister.

Pour ma part ma honte associée à ce fantasme se porte moins sur l'originalité libidinale, mais sur les conséquence sociales, imaginées ou réelles.

Si j'avais un fantasme purement érotique de la fessée, en m'imaginant de me m'allonger sur les genoux d'un monsieur vicieux (ou d'une dame vicieuse!), me claquant fortement mes fesses en laissant balader ses mains dans mon entrejambe, je n'aurais jamais écrit un blog. Ceci dit, j'aime aussi cette forme de fessée. A petite dose, comme un extra, comme préliminaire ou but en soi. C'est donc grâce à Heinrich Mann (entre autres) que j'ai commencé à m’intéresser de plus près au constructions fantasmatiques. Ce qui tombait bien car nous avions eu à la même époque Freud au programme de philosophie. Et le prof de philo...était craquant. Alors, en l'écoutant, à défaut de pas pouvoir le séduire, je m'imaginais appelée par lui devant toute classe pour devoir me pencher sur son bureau pour recevoir quelque coups de canne pour inattention permanente. Déculottée, cela va de soi. Difficile à dire ce qui m'émoustillait le plus dans cette fantaisie. Le fait de me voir corrigée par un homme fort attirant ou le fait de devoir montrer mon fessier tout nu au reste de classe. Donc par conséquence à quelques princes charmants déjà séduits ou en cours de séduction. Dans les deux constellations ma honte jouait un rôle important, mais cette fois-ci elle ne s'opposait pas à ma raison et mes considérations éthiques...

670 Liens de discipline domestique (156 ème édition)

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Au menu cette semaine : Dans l'embarras


Voila le genre de situation qu'adore mon chéri. Bien évidement je vois - sous le prétexte de faire le tour de la question de mes mauvais comportements - la grande opportunité de se rincer l’œil. La possibilité d'observer attentivement les émotions de mon corps que me provoque le fait de devoir exposer à haute voix mes insolences, manquements ou encore mauvaises pensées. Étrangement ces conditions pour se confesser me sont de plus propices.

Se mettre à nu pour ne pouvoir plus rien cacher !

Alors je lui parle aussi d'une une fessée récente, certes méritée, mais appliquée à un moment où je n'avais pas vraiment... envie.

Car la DD pour moi, elle est jouissive surtout dans l'anticipation ou avec le recul. Rarement, voir jamais « sur le coup ».

Mais, et cela est une constante, après l'acte je me sens mieux dans ma peau et malgré une mauvaise fois ostensiblement affichée dans le feu de l'action, je ne manque pas de gratitude envers mon chéri... plus tard.

Avec le recul je trouve que ta as bien fait de me rappeler à l'ordre...

Mais il y a aussi une autre constante : Plus que la préparation psychologique se fait avec finesse, veut dire, plus que mon embarras dans la situation punitive est grand, plus que je n'ai qu'une seule envie en sortant de mon coin:

Que mon homme me penche sur son bureau, sur la table de la cuisine ou encore sur le capot de la voiture pour me montrer comment les garçons font avec les filles...


Monsieur a décidé d'amener Madame pour une visite médicale de nature particulière. Il suffit de regarder le matériel de ce cabinet médical. Pour ma part je ne suis pas friande d'apprendre des pratiques quelque peu extrêmes. Heureusement je n'ai rien à craindre avec mon chéri. Au fond je le trouve aussi banal que moi dans ses désirs... purement sexuels. Certes, il a une âme d'éducateur, mais cela concerne plutôt mes bonnes manières qu'une instruction disons « sentimentale ». Puis il ne me gonfle pas avec des ambitions de vouloir de me faire jouir à tout prix. Donc pas de pression au lit chez nous. Toutefois je trouve troublante la situation de me présenter toute nue devant un docteur, son assistante et bien entendu mon chéri qui souhaite assister à l'examen.

Pour amateurs de clips (4 en lettres : quatre!)

Il suffit de suivre les liens et il y a pour tous les goûts. De plus - chose rare sur le net – on trouve une implication personnelle qui va beaucoup plus loin qu'une simple présentation d'un clip. A découvrir et … à réfléchir !


Je ne connais plus personnes dans la nouvelle génération de blogueuses qui parlent de la fessée. Par connaître j'entends d'avoir discuté avec une personne sur un forum ou d'avoir échangé de messages privés. Mais bon, cela fait longtemps que je n'ai plus le temps pour les forums. Je découvre donc comme tout le monde une jolie mise en page et de textes tendres.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !
























671 Invitation à la fessée ludique (Lundi cinéma)

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Du remue-ménage au petit déjeuner pour réveiller l'oursle monsieur !

Pour amateurs de jolies dames intrépides qui savent prendre l’initiative. Voici un clip qui change agréablement à mes yeux du cliché de la dame soumise, allongée sur les genoux du monsieur sans trop oser bouger. Car bien souvent le matériel industriel m'évoque une chanson de Brassens qui dit :

...quatre-vingt-quinze fois sur cent,
La femme s'emmerde en baisant.

Heureusement la fessée est une affaire douloureuse, parfois même très douloureuse ce qui évite disons naturellement que l'on s'ennuie pendant l'acte. Alors retenons que pas mal de dames semblent souffrir en silence. Il ne me paraît donc pas un hasard que certains considèrent la fessée comme une sorte de coït sur un mode sadique. Bon, j’arrête ma mauvaise langue. Notamment que mon homme ne plaisante pas à ce sujet. Il essaye toujours de m'en guérir sans que cela marche vraiment. J'ai la peau des fesses dure...

Cette cravache rose que présente la dame à son compagnon ne m'est pas inconnue. J'ai vu de semblables modèles dans deux ménages différents à la campagne, il y a un peu plus de quinze ans, dans le coin fourre tout du buffet familial. La première soi-disant oubliée par un ami de la famille (ah les belles fréquentations), la deuxième soi-disant pour impressionner le chien (et moi par la même occasion).

Et moi qui m'attendais à un prétexte d'équitation.

Bref, j'ai couru en rentrant chez moi devant ma glace pour vérifier si j'avais vraiment un air aussi crédule pour me sortir de telles énormités. Pourtant c'était encore en pleine phase garçonne avec des lunettes me donnant un air de plus sérieuse. A croire que l'on imagine les petites garçonnes aux allures intellectuelles loin de tout trouble charnel. Passons.

Qui a dit que la petite dame était caricaturale dans son uniforme ?

Sa démarche semble caricaturale certes, mais bon, si on cherche du raisonnable dans nos fantasmes, il y a grande chance que l'on fasse fausse route sur la route de la vérité humaine. Est-ce que raisonnable un grand garçon qui fait des « léchouilles » dans l'entrejambe de sa bien-aimée ? Alors pourquoi un monsieur qui souhaiterait corriger une vilaine grande écolière dans une tenue de plus affriolante, serait plus ridicule qu'un monsieur qui rêve de baisser le jeans d'une insolente garçonne pour lui montrer que...

c'est moi qui porte les pantalons dans notre couple, isabelle !

Petite touche d'un virilité torride qui me plaît tant sur mon homme. Non, il n'est pas macho, mais voir sa compagne en robe ou jupe fait partie de ses rêveries d'un Home sweet home. Je pense que la question principale pour vivre ses fantasmes en toute sérénité, c'est de se sentir bien dans sa peau et dans tête. De se détacher de la notion du caricatural, du ridicule, du cliché (que nous avons tous et toutes plus ou moins en nous ). Je comprend qu'il y ait des dames qui se sentent mal à l'aise dans certaines tenues. Il n'y a pas pire qu'une robe en latex par exemple pour se complexer. Le moindre « défaut » apparaît sur fond brillant. N'en parlons même pas des traces dues à l'âge et les maudits kilos en trop qui n'arrangent pas les choses. A se regarder dans la glace l'impression peut s'imposer...

...que le plaisir du monsieur consiste à nous mettre mal à l'aise.

Disons que tout dépend de l'attitude de notre partenaire... au feu de l'action. Voyant l'effet de mes « déguisements » sur mon homme, je veux dire par là sa prestation de vanille, j'ai vite compris que ma présentation n'avait rien de ridicule pour lui. Sans oublier que de me déguster nature (veut dire toute nue) le met également dans des états pas possibles. Voilà qui donne envie de récidiver avec d'autres arcanes de séduction.

Alors oui quand je vois l'attitude décomplexée de la petite dame dans le clip je trouve son attitude d'une fraîcheur à toute épreuve. Elle me semble si joyeuse, vivante, joueuse que je peux m'identifier à elle. Surtout en ce qui concerne de déchirer le journal de mon homme quand il ose de ne pas m'écouter sur le champs. Et comme elle je sais me montrer pimpante, je sais gigoter avantageusement mon postérieur, je sais être entreprenante, je sais être croqueuse d'homme. J'aime sa théâtralité, ses attitudes, ses expressions, sa façon de bouger … ce qui permet au mieux d'adoucir la sacré brûlure que cause la cravache ceci dit. Bref, moi qui aime d'habitude la pesante atmosphère de vraies punitions, j'adore ce clip pour son ambiance fessée ludique réussie ! Enfin, mes goûts...

672 Mémoires d'une éducation sévère 7

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4.1 Un nouveau quotidien

Lucie dormait profondément quand elle entendit la voix de Nadège :

Débout jeune dame. Il est six heures et demie. Grand temps de se lever.

Lucie n’avait pas habitude de se lever aussi tôt et mit un moment à émerger. Nadège s’était assise sur le bord de son lit et caressait les cheveux de sa protégée. Elle devrait être débout depuis un moment déjà comme indiquait son habillement et sa coiffure impeccable.

Un quotidien structuré est un repère indispensable pour une jeune fille à la dérive,

dit-elle tendrement.

J’aimerais que tu prennes des bonnes habitudes chez moi, Lucie. Tu me remercieras plus tard. Finies les grasses matinées et l’oisiveté.

Cela veut dire que je dois me lever tout les jours à cette heure ? Et le dimanche ?

Le dimanche est un jour à part que nous débuterons un peu plus tôt. Cela te va ?

La logique de Nadège était implacable. Lucie n’osa pas répliquer. En quittant son lit elle attrapa sa culotte car la chemise de nuit qu’exigeait Nadège ressemblait plus à un t-shirt qui s’arrêtait au dessus des la naissances des fesses.

Inutile,

intervint sa tutrice en posant sa main sur celle de son élève.

Tu es chez toi ici et tu n’as pas besoin de faire des manières. J’aimerais que tu apprennes à afficher ton statut d’élève avec fierté.

Pour l’encourager elle appliqua une tape sonore sur le derrière de Lucie qui ce serait bien passée d’une telle marque d’affection y inclus le commentaire suivant :

Avant ta toilette matinale tu resteras en chemise de nuit, ainsi que le soir après ton bain, manière que tes fesses prennent un peu d’air. Cela leur fera du bien et me facilitera la tache de te rappeler à l’ordre quand il le faudra.

Et au cas où nous recevons de la visite ?

Notre règlement interne ne regarde personne. Nous avons le droit de faire ici comme bon nous semble. Je ne vois pas en quoi la chemise de nuit t’empêcherait de t’amuser avec les élèves de mes invitées.

Elle le disait avec un sourire invitant et un tel naturel que Lucie fut trop perplexe pour réagir. Les réactions imprévisibles de sa tutrice n’arrêtaient pas de la surprendre. Elle ne sut dire s’il s’agissait de l’habilité, de l’expérience ou de convictions profondes. Mais elle décida d’observer intensivement cette femme intrigante avant d’élaborer un plan pour assouplir ses nouvelles conditions de vie.

A suivre

673 La discipline domestique met dans l'embarras

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Pourtant un tel faible ne se lit pas sur le visage

Il existe des soirées pour adeptes du BDSM. Il existe également des soirées pour adeptes de la fessée. Avec de la pub à l'appui. Par contre on n'entend pas parler de soirées de discipline domestique. Il a existé dans le temps (et peut-être cela existe encore) des groupes de discussion sur cette pratique, mais il fallait porter preuve de sa soumission à son conjoint devant un comité de dames. Il en va de soi que je ne m'y retrouve pas dans les mouvements qui vont dans la direction MOM (Men our masters) . Même si j'ai une profonde attirance pour les couples à l'ancienne avec la fidélité corps et âme en haut de la liste, la valeur du travail, les enfants, la vie familiale, sorties en commun etc. Par conséquence je me verrais mal personnellement, une fois en couple, d'effectuer des « rencontres pour le plaisir ». Je me verrais mal également décider de faire ma vie avec un partenaire qui m'est fantasmatiquement incompatible, soit en me laissant sur ma faim, soit en me demandant des choses qui ne me correspondent pas. J'ai pris donc le temps nécessaire avant de me mettre en couple.

J'ai lu sur un site allemand que les couples ayant un faible pour la discipline domestique sont de plus discrets. Amie, voisine, connaissance de club de sport, la commerçante au coin de la rue, un penchant pour la discipline domestique ne se lit ni sur le visage, ni personne ne s'en vante. Et pour cause. Les associations avec de l'un côté la violence conjugale, de l'autre avec le BDSM causent un certain malaise. Et même au niveau de la « perversité toute bête », nous sortons d'un registre de reproches classiques pour nous heurter à un moralisme qui essaye de nous convaincre d'une immaturité psychologique, voir d'une position de victime. Alors même devant pas mal de personnes avec l'esprit ouvert, il est difficile d'admettre que l'on ressent parfois un impérieux besoin de punition pour de vrai. Qui s'applique sous forme de pan-pan cucul.

Difficile de faire comprendre aux autres que l'on souhaite un tel traitement sans que cela soit conçu pour jouir sous la main de notre partenaire.

S'ajoute que toute cette pratique se nourrit au plus profond d'elle-même d'une génitalité qui a pris la primauté sur les pulsions partielles. Alors impossible de prétexter que l'émoustillement soit complètement étrangère à la DD. Et pourtant hors de question que le monsieur pendant son travail de disciplinaire passe la main dans l'entrejambe de la dame.

Action qui tue pour moi tout le charme d'une vraie punition.

Difficile aussi de parler - quand je reçois une bonne correction - que je traite parfois mon chéri de tous les noms en mettant en relief les ingrédients d'une bonne crise d’hystérie sous forme verbalisée. Quand je fais la furie comme aime dire mon homme. Difficile de parler de mon profond émois quand mon chéri m’annonce solennellement de me (re)mettre au pas. Difficile d'admettre que je passe un bon moment au coin, mes fesses rouges à l'air, pour me calmer. Difficile aussi d'admettre qu'il nous arrive de concevoir parfois une satisfaction de mon besoin de punition sur un mode ludique, dans un jeu de rôle.

Plus que l'on essaye de parler de cette pratique, plus que l'on risque de se perdre dans les contradictions.

Bref, ne manquent pas les éléments pour causer un embarras... qui n'est pas lié à ce qui se passe entre moi et mon homme, mais à la perception de notre pratique par d'autres personnes. Et si à la limite mon homme et moi, nous nous moquons un peu de se que pensent certaines personnes, il reste encore notre fille à laquelle nous souhaitons offrir une enfance sans histoires inutiles qui pourraient être rapportées par autrui.

Évidement pour aborder la DD, il suffirait de jouer un peu sur les mots. De mettre en avant le coup de fouet sur nos libidos réciproques. D'oublier de mentionner le décalage horaire entre mes punitions et nos retrouvailles plus tard au lit. De ne pas parler des effets de la discipline pendant ces heures. De mon énergie débordante pour faire mille et une choses et surtout de mon envie de bien les faire. Avec soin. Au mieux de mes capacité. Aspect si souvent oublié de la DD :

Une source inépuisable d’énergie positive, d'une joie de vivre bien consciente, une envie de créer, de faire des choses, d'être dans l'instant, de profiter de l'instant...

Je pense que pour les personnes ayant un besoin de punition/besoin de punir la satisfaction de cette pulsion sur une base régulière est aussi importante et bénéfique que des séances régulières de vanille. C'est dans le bon équilibre que se crée l'harmonie et bien-être du couple.


674 Liens de discipline domestique (157 ème édition)

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Au menu cette semaine : Vive le printemps...


Mon homme aime beaucoup la nature. C'est un vrai plaisir de se promener avec lui. Surtout quand il m'amène dans des endroits pas possibles sans le moindre risque de tomber sur des promeneurs. Alors il lui arrive de se prendre pour le roi du monde qui souhaite manifester sa joie de vivre en m'appliquant une sonore fessée. Non, il n'est pas vicieux au point d’amener un strap ou autre instrument avec lui. En pleine nature il aime une ambiance rustique, veut dire moi toute nue sur ses genoux en tendant mon postérieur vers sa main qui me claque fortement la peau. C'est ludique certes... .

...mais il ne faut pas sous-estimer la main d'un homme qui laisse libre cours à sa passion.

Il m'est arrivée de mettre plus de temps pour pouvoir m'asseoir à nouveau après une fessée pur plaisir qu'après mes punitions habituelles. Voila pour montrer que bien souvent les appellations ne veulent rien dire.


Grande amatrice de clichés, j'ai un faible pour ce haut gradé qui ne réussit pas à cacher sa colère. Idem pour cette infirmière aux rondeurs d'une féminité caricaturale qui semble effectuer son dur métier sur des talons vertigineux. Hauteur que je me réserve habituellement pour la maison quand je n'ai rien d'autre à faire que de vaquer de ma cuisine à mon canapé pour retrouver mon ordinateur en attendant la pause café de mon chéri pour le surprendre avec ma tenue. Bref, hors de question pour moi de travailler avec cela. Évidement (comme moi) notre nurse est parée de bas et de porte-jarretelles.

Le cliché en soi d'une dame qui se consacre à la séduction à plein temps.

J'aime la position pour la fessée, le monsieur avec son nez si proche des fesses de la dame que l'on croit presque qu'il va le plonger dans son entrejambe.

Peut-être est-il en colère justement parce que cela ne se fait pas.

Certes, il est de son devoir de rappeler la dame à l'ordre, mais compte tenu de son rang, il serait impensable de dévier sur d'autres terrains.

Discipline militaire oblige !


S'il y a habituellement consensus chez les amateurs de notre sujet sur la belle sonorité d'une main qui claque intensément un derrière, il n'en est pas de même concernant les accompagnements sonores ou verbaux de celle qui reçoit. Il y a ceux qui aiment le silence.

Ben oui, fesser est une affaire sérieuse qui demande une grande concentration !

Il y a ceux qui aiment les petits gémissements dans la ligné « Fais moi mal Johnny ». Puis ceux qui aiment la liberté d'expression en s’adaptant à la convenance de la dame. Certes, il y a toujours un risque de théâtralisation, d'une impression de surjouée ou encore que la dame se paye de la manière la plus effrontée la tête du monsieur. Mon opinion personnelle, en étant concernée par ce qui se passe sur mes fesses, est la suivante : Il suffit d'une ou deux minutes de punition pour que tous mes élans de brouiller les pistes s'estompent pour laisser place à une belle et sincère contrition !

C'est le but d'une vraie punition, non ?


Voici un fantasme qui plaît à beaucoup d'hommes. Le prétexte pour cette fessée est vite trouvé :

Améliorer le comportement d'une vilaine fille !
Il convient d'entendre par là, une fille qui reste insensible aux charmes du monsieur, une fille faisant part de celles qu'il n'aura jamais. La suggestion d'un contexte maternel n'est pas dérangeant. Au contraire, la sévérité maternelle évoque quelque part une justice supérieure ô combien réjouissante.

C'est le : « bien fait pour elle », version masculine !

Mais non, je plaisante. Il est bien connu que le but de la fessée c'est de faire jouir les filles. Voila qui montre à quel point les théories infantiles sur la sexualité peuvent s’avérer tenace à l'âge adulte chez certaines personnes...

Tu veux que je sorte le martinet, isabelle ?

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !









Discipline jadis (petite série)
















675 Invitation à la discipline domestique (Lundi cinéma)

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Il ne faut pas rêver !

Ce n'est que dans les clips que cela se passe de cette manière. Malheureusement l'extrait est très court et il n'y a pas la suite des aventures de cette aguichante dame. En couple c'est moins glamour et aussi nettement moins glorieux. Normal, nous ne posons pas pour vendre une vidéo.

Nous aimons les situations écrites par la vie.

Parfois pour une faute de taille, veut dire une bêtise si monumentales que j'aie honte de ma propre bêtise, j'ai la glorieuse idée de vouloir la cacher. Et en plus, perdue dans une sorte d'entêtement je commence à mentir à mon homme. En oubliant qu'il n'a rien d'une personne dupe et très vite je m'égare de plus en plus dans un tissu de mensonges pour sauver la peau de mon derrière. Après un moment plus ou moins long, mon chéri a marre de mes gamineries en me lançant une petite invitation :

Mets toi à l'aise pour une sérieuse discussion, isabelle !

Oh là, cela commençait à sentir le roussi pour moi, car derrière cette charmante et en apparence innocente expression se cache la demande de me présenter toute nue à une confession qui peut aller loin. Aussi loin qu'il faut pour que lumière soit faite dans toute l'affaire. Alors quand je commence à enlever mes vêtements, je me sens assez misérable, honteuse et rappelée à l'ordre comme une adolescente qui essayer de duper ses parents.

C'est une nudité symbolique, chargée d'un lourd sous-entendu.

Pendant ce temps, mon homme va chercher la canne pour marquer la gravité de la situation. Il en va de soi que je ne fais pas la fière du tout devant cette Rohrstockerziehung (éducation à la canne) qui m'attend.

Car une fois passée aux aveux complets, rien ne sauver la peau de mes fesses.

C'est très lourd à vivre sur l'instant, mais je sais que j'en ai besoin pour pouvoir me regarder plus tard, la conscience tranquille, dans un miroir. Puis pour intensifier la situation nous allons, moi une fois toute nue, dans le bureau de mon homme. Je passe devant lui et il convient que ce soit moi qui porte l'instrument qui sera bientôt appliqué pour parfaire mon éducation.

Cette marche de la honte ne manque pas d'effet sur moi !

Et sans penser pour le moins du monde à la coquinerie de la situation, mon entrejambe se charge de me rappeler que sans une forte composante libidineuse je ne serais pas passionnée comme je le suis pour les méthodes à l'ancienne. Évidement rien n'échappe au regard de mon homme et il ne m'épargne pas de ses moqueries :

Ah je nous vois sur la bonne voie, isabelle ! Le processus de contrition est mis route...

676 Ma petite femme est-elle bien normale ?

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C'est l'histoire d'un pauvre mari...

...désespéré... qui se plaignait dans un magazine pour hommes que sadame s'obstine à porter en public de très courtes jupes, en troublant ainsi tous les messieurs de leur habituellement si paisible quartier. Alors pour affirmer son autorité de chef de famille et souligner son veto pour les extravagances vestimentaires, il a eu la bonne idée de prendre recours aux claquantes fessée,s appliquées sur le postérieur de sa dame pour lui apprendre les bonnes manières. Acte que j'imagine de plus commode avec une courte jupe. Mais hélas, malgré ces arguments énergiques, la dame persiste dans son comportement. Même après plusieurs fessées de la part de son très outré mari. Pire encore, au lieu de craindre ses corrections conjugales, elle semble en tirer le plus grand plaisir au point d'atteindre l'orgasme sur les genoux de son époux. Perplexe, ce dernier se tourne vers le spécialiste des méandres de l'âme humaine, le psychologue du magazine en lui posant la question qui l’inquiète tant :

Ma femme, est-elle bien normale ?

Quelle construction fantasmatique de tonnerre qui soulève une autre question :

Pourquoi de telles histoires plaisent tant ?

Déjà par le simple fait que l'on y trouve une revalorisation narcissique pour celui qui la raconte et par extension pour celui qui s'y identifie. Il s'agit tout de même d'une dame qui « trouble tous les messieurs » du quartier. Ce qui n'est pas rien. C'est un peu le même mécanisme que les cinquante nuances. D'un côté la dame qui « gagne » les faveurs d'un milliardaire, de l'autre un homme avec la plus attirante femme du coin. Que de belles histoires dans le sens d'Anna Freud qui a pointé la première sur les fantaisies punitives révalorisantes, notamment chez les filles.

Mais laissons de côté le versant de sublimation de notre fantasme et penchons nous un peu sur le non-dit qui est en jeu. On peut voir dans cette histoire un fantasme sur le modèle de la dame qui prend l'initiative.Un incontournable archétype de l'industrie P.

Nous suivons les aventures d'une digne fille d’Ève qui reste en quelque sorte proche du contexte biblique. Entraîner les messieurs dans la voie du péché. Voila qui mérite sévère punition et le mari s'en charge.

Situation qui permet de constater à quel point notre culture dite judéo-chrétienne, décriée par d'aucuns pour sa pudibonderie, est ancrée profondément dans la matrice du fantasme de la fessée. L'immoralité est sévèrement punie au grand plaisir du spectateur. L'aspect moralisateur se retrouve même parfois dans le vocabulaire. Il y a bon nombre de charmants surnoms pour une dame entreprenante, appelée par exemple parfois une « salo...pe », peut-être pour le fait que ce soit elle qui décide « avec qui, où et quand ». Largement de quoi pour s'attirer les foudres de certaines personnes. Notons aussi le pouvoir érotique de ce mot/ce genre de mots sur certaines personnes.

Ce qui laisse croire à un effet déculpabilisant considérable en prononçant le mot magique.

Devenons un peu pragmatiques. Apparemment notre monsieur (inventé ou pas, cela ne change rien au fait de sa fonction d’archétype aussi) semble bien aimer les jupes courtes de sa dame. C'est le fait qu'elle les porte en « public » qui le dérange. Loin de moi de vouloir jeter une pierre sur ce brave monsieur. Moi aussi, j'ai des jupes très courtes, spécial maison et j'imaginerai bien la tête de mon chéri, si je les portais en public. Ce qui tombe bien ! Car j'avais trouvé ce courrier de lecteur quand j'étais encore ado. Déjà à l'époque j'avais une conception de choses réservées à la personne qui partage ma vie. Sorte de :

Rien que pour vosses yeux !

qui confirme que mon couple coïncide avec mon jardin secret. Alors oui, j'ai éprouvé un certain plaisir en découvrant les mots de ce monsieur dans le magazine. Et je me suis mise de manière de plus éhontée dans la situation décrite.

Venons à la conception de la normalité.

Constatons d'abord que ce courrier prête à croire que le mari considère comme normal de fesser sa femme pour une attitude provocante envers d'autres messieurs. Et comme il semblerait madame ne trouve rien à redire. Leur petit ménage fonctionne à la merveille. Madame remets ses courtes jupes pour sortir et monsieur applique à nouveau le pan-pan cucul. Ensuite que dire d'autre sur cette petite dame qui jouit sur les genoux de son mari... .

...que ce dernier aussi y trouve son compte !

Si je me souviens bien le psychologue avait conseillée au couple d'oublier la notion de normalité, car leur pratique convenait aux deux sans nuire à autrui..
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