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Channel: Besoin de Discipline Domestique La Fessée en Couple
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697 Liens de discipline domestique (164 ème édition)

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Au menu cette semaine : Cette fessée que l'on souhaite à autrui


Sans être maniaque mon homme tient aux bonnes manières.

Je t'ai à l’œil, isabelle...

Par conséquence quand mon comportement laisse à désirer , il n'hésite pas de me corriger. Notamment quand j'ai été victime quelque part de ma mauvaise langue. Cela ne pardonne pas et je paye cher mes écarts du bon chemin. Alors, bien souvent quand je regarde un clip, je ne me projette pas à la place de la fautive, mais je me réjouis de ma position de spectatrice. Bon, je n'aime pas quand il y exagération dans la correction et qu'elle prend à mes yeux des formes trop intenses. Dans les autres cas, mon attitude est presque toujours la même :

Voila qui lui apprendra...

Et pour combler le tout, émue (de l'entrejambe!) comme ce n'est pas permis, je vais aller fayoter auprès de mon chéri en lui disant :

Tu ne trouves pas que mon comportement à été exemplaire aujourd'hui ?

Parfois il est ronchon :

Tu vois pas que je travaille, isabelle ?

Parfois il est peu poétique, surtout quand je me montre insistante :

Mets-toi un de tes petits bijoux entre les fesses. Cà te calmera !

En fait il me dit plutôt « dans le cul ». Bon, c'est un garçon. Ils sont besoin de recourir à un langage explicite dans certaines circonstances.
Mais le plus souvent sa main remonte ma jambe pour débuter une bonne séance de vanille improvisée. Pour me prouver qu'il n'est pas un garçon qui utilise parfois de gros mots, mais un homme, un vrai.


Continuez, je sais à quel point elle peut parfois être agaçante

Voila que pourrait dire ma maman dans pareille situation. Car effectivement j'ai le chic de me montre facilement très exaspérante. Le plus souvent je pars sur un rien pour atteindre très vite une extase verbale qui se laisse difficilement maîtriser. Je me souviens quand ma maman a parlé de cette particularité à mon chéri en lui souhaitant bon courage:

Vous verrez, rien n’arrêtera ma fille...

Mon homme lui a répondu tout simplement par un sourire éloquent. Ma mère ne s'attendait pas d'une telle réaction, mais fut aussitôt rassurée.

Finalement je crois que ma fille se trouve entre de bonnes mains chez vous...

Bien fesser, c'est dissuader(pour amateurs de clips sévères)

Je compte me reposer un peu à l'occasion du premier mai. Un joli titre, un post bien girlie comme je les aime et qui met bien en valeur cette trouvaille. Cela ne fait pas semblant et pour ma part je souhaite cette fessée plutôt à autrui qu'à moi. Enfin en ce domaine je n'ai pas vraiment mon mot à dire. Cela reste la touche du chef...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !


Discipline au bureau (petite série)









Rendez-vous avec la canne (série vintage)





Femme à lunettes(pour mon chéri)







698 Claquante punition en groupe (Lundi cinéma)

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Quand le fantasme se transforme en réalité

Pour les femmes de ma génération il n'était pas commun de devoir baisser le jeans pour se faire corriger à l'ancienne. Ce geste ne correspond à aucun vécu pendant notre enfance. Pourtant un jour le fantasme est apparu pour s'incruster durablement. Peut-être suite à des menaces en ce sens, prononcées à la légère et censées d'impressionner une fille trop turbulente pour qu'elle se calme un peu. Inutile de faire un dessin.

Il me semble que la compréhension du mot fessée est innée chez l'être humain.

Ce terrain ô combien favorable parfois me fait croire que ce fantasme (dans le sens d'imaginer la situation d'en recevoir une ou du moins d'en observer une) traverse à un moment ou un autre l'esprit de beaucoup d'êtres humains. Peut-être majoritairement les filles comme le suppose Marie Bonaparte et qui voit même l’acception de ce fantasme comme une indispensable étape à l'accession de la volupté vaginale. Quoiqu'il en soit, je pense qu'elle n'ait pas tort. On peut trouver sur les forums de notre sujet des fils de discussion dans lesquels certaines dames parlent de leur appréhension envers la vanille classique, en se passionnant d'abord pour la fessée punitive. Puis c'est le déclic et apparaît l'envie de donner à leur fantasme une apparence disons plus érotique. Par conséquence...

...on peut attribuer à la pratique de la fessée dans certaines constellations une fonction hautement bénéfique sur le bien-être général de la personne.

Un processus qui commence donc à un âge plus ou moins tendre par des fantaisies sous la couette, par des rêveries à l'école, dans le bus, un peu partout. Les yeux grands ouverts en serrant et desserrant les cuisses pour se réjouir de la chaleur se dégageant du bassin et qui envahit le corps.

En devenant une jeune dame, cette fantaisie peut s'associer à un monsieur qui dégage une autorité déconcertante et qui ne confond pas punition et « attouchements indécents » . Inaccessible à nos tentatives de séduction , il reste maître de la situation et nos larmes ne sont pas celles du repentir, mais de la colère. Parce qu'il ose de résister à nos charmes. Avec comme résultat de se lever, la séance finie et les fesses en feu, d'aller maladroitement au coin, car gênée par le jeans autour des chevilles, pour y... bouder ostensiblement.

Cocktail explosif qui fait bouillir l'entrejambe qui devient luisant et exprime ainsi un regret plus ou moins inconscient.

D'autres fois ce monsieur devient quelque peu vicieux et profite de la situation. Il laisse vagabonder sa main et ses doigts pour explorer un entrejambe honteusement humide.

Douleur et plaisir s’emmêlent pour se sentir agréablement en petite perverse qui se laisse faire sagement.

Je pense que si le fantasme de la fessée était mieux accepté, il y aurait de jolies fantaisies à échanger avec ses copines. Des histoires de cuisantes punitions et de tripotage vicieux en se faisant claquer les derrière. Et qui sait, peut-être il y aura même des situations dans lesquels on aurait l’occasion de baisser nos jeans respectifs pour se faire rappeler à l'ordre...

699 Jeux de bâillon et sodomie

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(Suite de : 688 Tapage nocturne)

Quel programme mon chéri ! Mais pourquoi veux-tu mettre de la vaseline sur ce joli bâillon ?

J'ai vu son visage s'illuminer, façon grand méchant loup qui se délecte du plaisir quasi charnel que lui procurent mes bourdes, parfois monumentales. Pour ma part quand je capte enfin une de mes bêtises, je chope bien souvent un incontrôlable fou-rire. Bêtasse à souhait, certes, sans toutefois manquer un sacré effet de séduction sur une certaine partie de la gente masculine comme j'ai pu m'en apercevoir dès mon adolescence. A croire que les filles avec une bonne dose de naïveté, ne manquent pas de public bienveillant et ne pas le moindre. En tout cas, ce charme qui m'est particulier, opère à la merveille sur mon homme. Et parce j'ai une nature exubérante, mon rire s'entend de très loin. J'imagine donc mes parents qui ne doivent pas ennuyer au salon avec les prouesses de leur fille. Ceci dit, ce jour-là, le son sera coupé instantanément dans un petit instant. Mon souffle retrouvé, j'avais envie de taquiner mon chéri :

Tu souhaites me prendre par voie rectale ?

Allons, allons ! Ne me croyez pas tous ce que vous lisez sur mon blog. Je ne suis pas aussi coincée. Je n'aime pas la grossièreté verbale pendant les ébats, ni dans les discussions, mais pour mieux désigner une situation, je sais me montrer ponctuellement explicite. Voila qui donne :

Tiens donc, tu n'aurais pas une féroce envie de m'enc*uler et tu as peur que je vais réveiller toute la maison par mes cris !

Puis sans attendre de réponse, j'ai pris le temps d'examiner l’objet. Un joli jouet qui sentait bon le cuir avec un coussinet en forme d'un étrange champignon. A vrai dire, en regardant mieux on aurait pu dire quelque chose ressemblant à un sexe d'homme, plutôt au repos vu la taille. Petit fou-rire de plus de ma part, en imaginant déjà l'obscène de la situation. Une fois en bouche, cette partie caoutchouteuse - comme j'ai pu m'en apercevoir plus tard - se révéla agréable au mordant si j'ose dire et j'avais l'impression d'une sorte sucette pour adultes que l'on colle sur la bouche de la dame pour la faire taire. Le tout accompagné d'une sangle ajustable pour un maintien impeccable.

J'ai pris mon temps pour me déshabiller de manière très sensuelle, pour chauffer la salle, avant de me glisser dans une position de levrette prosternée qui laissa à mon homme une vue imprenable sur mes parties intimes.

Tu me le mets chéri !

Je parlai bien entendu du bâillon, aussi agréable à porter qu'efficace dans sa fonction primaire, ne me laissant que la possibilité d'émettre quelques râles rauques. Étant une pipelette comme pas permis, j'ai trouvé vite très agaçant de m'exprimer dans une tonalité en sourdine, parfaitement incompréhensible. Quelque peu énervée, je n’arrentai donc pas de gigoter. Spectacle visiblement très apprécié par mon chéri qui avait mes fesses devant son nez. D'abord il se moqua de moi en me demandant si j'étais en train de lui faire des clins d’œil avec cette partie de moi qui est à l'honneur dans ce texte. Expression qui me marqua au point de la sortir un jour malgré moi dans une discussion de plus sérieuse...

...en parlant de mes clins d’œillet.

Puis pris d'une envie soudaine, il se laissa aller à un imprudence qui ne lui correspond pas. Une magistrale claque sur mon derrière, une dont on se souviendra pendant longtemps et qui résonna dans ma chambre de jeune fille et par extension... encore au salon de mes pauvres parents. Ce n'est pas la claque qui a été perturbante pour eux, mais l'étrange silence qui l'entourait. Si inhabituel pour leur fille qui ne se manifesta ni par ses rires, bêtasses ou inspirés, ni par ses vocalisations retraçant fidèlement son état d'excitation.

Mon homme profita longuement pour me préparer aux choses à venir.

J'aime quand il me passe « la pommade » sans se montrer pressé.

Et malgré ma grande sensibilité à l'érotisme de l'arrière porte, il me faut tout de même une bonne préparation pour pouvoir participer moi aussi dignement aux réjouissances. Rien ne me détend mieux dans cette situation qu'une main baladeuse. Mais j'aime surtout quand mon homme se glisse en moi, délicatement, très doucement en mettant sous tension les terminaison nerveusement une par une. Au début il s'agit d'une sensation étrange, de quelque chose qui n'est pas à la bonne place, qui cherche un chemin dans une voie étroite. Puis se crée une sensation de plus en plus agréable.

Sorte de réveil de la belle au bois dormant qui rencontre l'excitation qui se cultive par de langoureux va et viens.

Peut-être elle n'attendait pas son prince charmant dans cet endroit précis, car après tout comme l'enseigne leur histoire ils furent heureux et eurent beaucoup d'enfants. Mais à mes yeux le sens d'entreprise, le courage de s’aventurer sur les terrains inexplorés et la bravoure de quitter la conventionnalité, sont indéniablement des qualités dignes d'un prince. Et quoi de mieux qu'une sensation toute nouvelle pour inciter la belle a souffler, ne serait-ce que la bouche en cul de poule, un enthousiaste :

...ô mon prince !

Dans un registre moins romantique, j'ai parfois l'impression que la maîtrise parfaite de la sodomie s'apparente à celle du vélo et ceci pas uniquement à cause de la position du monsieur haut perché. Non !

Je trouve qu'unesodomie réussie peut se passer des mains !

Que ce soit celles du monsieur ou de la dame. Ce jour-là, bien au début de notre vie couple, j'ai émerveillé mon chéri par ce qu'il croyait une prédisposition polymorphe perverse de jouir. J'ai dû lu expliquer plus tard que cela s'apprend et il a surtout voulu savoir comment cela s'apprend. Depuis, s'il me trouve délicieusement vicieuse, je pense qu'il doit avoir ses raisons. Nous avons gardé le bâillon qui sert encore. Parfois chez mes parents pour éviter le tapage nocturne, mais surtout à la maison quand mon homme souhaite que je la boucle pendant un moment... pour lui foutre la paix!

700 Mémoires d'une éducation sévère 12

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6.2 Une ceinture pour combattre les mauvaises habitudes


Elle se rendit compte trop tard quand Nadège avait déjà faite son entré dans la chambre en allumant la lumière.

Lucie prise en flagrant délit rougit d’un air coupable et la gêne qu’elle éprouva vis-à-vis de sa tutrice dépassait largement en intensité la honte qui avait entourée sa fessée publique. Nadège pour sa part resta parfaitement sereine. Elle s’approcha de sa protégée et lui posa une main sur le front pour évaluer s’il s’agissait de la fièvre. Son autre main par contre glissa sous la couverture pour atteindre la croisée des chemins, endroit qu’elle n’abordait d’habitude uniquement munie d’un gant de toilette. Ce contact de chair à chair provoqua un léger soupir de Lucie qui rougit encore plus. Nadège continua, comme rien n’y était à explorer l’intimité de son élève avant de retirer sa main.

Je te trouve très tendue Lucie et l’humidité de ton entrejambe confirme mon diagnostique. Il me parait indispensable de calmer tes ardeurs sur le champs. Enlève ta chemise de nuit et mets toi en position sur le lit, le fessier bien bombé et en écartant tes jambes comme si nous prenions ta température. Je vais chercher un instrument pour te soulager efficacement.

Lucie ne présageait rien de bon. Elle détestait quand Nadège lui imposait cette posture qui dévoilait ses parties les plus intimes pour contrôler régulièrement sa bonne santé par le biais d’un thermomètre copieusement enduit d’un lubrifiant. Elle s’attendit à une correction qui devrait dépasser en sévérité tout ce qu’elle avait enduré jusque là. Elle s’en voulait pour son inadvertance et admettait le bien fondé d’une punition exemplaire pour sa propre bêtise. Elle orienta son regard par en dessous de son ventre entre ses jambes vers la porte, tremblante de peur et de remord. Mais elle ne vit aucun instrument de discipline qu’elle connaissait quand Nadège revint, seulement un petit étui en cuir rouge. Ce qui l’inquiéta encore plus.

Nadège s’installa derrière elle sur le bord du lit et Lucie fermait les yeux, incommodée par l’obscénité de sa posture. A son grand étonnement elle sentit à nouveau la main de sa tutrice qui étalait avec douceur et savoir faire une crème bien grasse sur un entrejambe toujours humide et de plus en plus « tendue ». Puis elle entendit un léger vrombissement en même temps qu’une chose froide, lisse et vibrante qui enflamma ses sens au plus haut dégrée. L’éducatrice s’en servait à la merveille et apporta preuve, comme en tout d’ailleurs, d’un savoir faire hors norme. Lucie découvrit de sensations insoupçonnées et admit qu’elle pouvait encore apprendre beaucoup de choses sur le fonctionnement de son corps. L’éducation que Nadège lui faisait parvenir, lui paraissait vraiment très complète. Elle se laissa aller pour recevoir une détente de plus agréable qui culmina dans un long soupir de bien-être.

Il faudrait que nous ayons une sérieuse discussion entre femme demain matin,

dit Nadège après un long moment de silence.

En attendant je te souhaite une bonne nuit, ma chérie.

Le lendemain matin après la gym et la toilette, Lucie attendait devant la porte de l’étude de Nadège pour un « cours particulier ». Elle était dispensée de corvée de ménage. Les la-dites cours servaient à corriger les mauvais comportements et impliquaient toujours de pénitences particulières. Lucie n’avait pas le droit de pénétrer le sacro-saint autre que toute nue, parfois sollicitée de porter son propre martinet ou comme aujourd’hui le bonnet d’âne. Elle craignait et détestait ces séances de remise en question à genoux sur un prié dieu, détournée de son emploi primaire et orienté avec vue sur une impressionnante collection d’instruments de discipline que Nadège exposait avec fierté et dont l’entretien comme dépoussiérage et cirage incombait Lucie le dimanche matin.

Après un long moment d’attente Nadège l’appela enfin et Lucie prit sa place habituelle.

Je t’ai convoquée car je suis gravement déçue de toi.  Qu’as-tu à me dire pour ta défense.

Lucie se tut, embarrassée de ce qui venait de se passer la veille. Exiger de parler de ses émois charnels lui paraissait le comble de l'embarassement. Une fois de plus elle s’en voulait et trouva le bonnet d’âne à la hauteur de sa bêtise.

Tu n’a rien à me confier ?

Lucie le regard baissé ne bougeait pas.

Sommes-nous bien d’accord que ton comportement est inadmissible ?

Timidement elle hoche sa tête pour acquiescer. Elle prévoyait des questions encore plus pénibles quand Nadège commença à lui parler sur ton bienveillant.

Il me parait normal qu’une fille de ton âge succombe aux sensations de son corps et s’adonne aux caresses. Je ne suis pas du tout contre ces pratiques. Je les trouve même indispensables pour l’équilibre mental et nécessaire pour une bonne hygiène de vie.

Ce qui m’a déplu hier c’est le fait que t’appliques en cachette sans mon autorisation. Ce genre de plaisir solitaire comporte certains risques. Il affaiblie la volonté quand on s’en sert d’une manière anarchique. La tentation d’en abuser est grande pour une fille qui ne maîtrise pas encore les secrets de son corps.

Nous allons donc envisager une mesure adéquate pour bien canaliser l’excès tes énergies.

À l’avenir je te coucherai avec un petit dispositif qui t’évitera des tentations inutiles.

Dixit Nadège. Elle alla chercher un genre de ceinture dans la commode avant de l’enfiler à son élève médusée qui n’osa pas protester. Lucie n’avait aucune chance de s’en débarrasser seule, car un petit cadenas à clef fermait astucieusement l’ensemble. La ceinture dans un cuir rose seyant était coupée d’une manière qui ne permettait pas le moindre accès à la partie concernée.

Il en va de soi que Lucie encaissa une fessée mémorable pour cachotterie récidiviste devant sa tutrice.

Le soir dans son lit elle se sentit terriblement « tendue ». Elle commença vaguement à comprendre qu’elle était l’intérêt de devenir une fille sage aux yeux de sa tutrice. Malgré un trouble tout nouveau et particulièrement insistant elle s’endormit vite, car Nadège n’eut pas oublié de lui administrer un suppositoire relaxant pour s’habituer à sa nouvelle condition. Elle eut des rêves bien compensatoires à faire frémir la fille la plus impudique.  

701 Liens de discipline domestique (165 ème édition)

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Au menu cette semaine : Les plaisirs de nos grands garçons


Non, ce n'est pas représentatif comme plaisir, mais dans le cadre de mon blog ce fantasme s'impose tout naturellement en haut de la liste. J'aime bien le décor « vraie fessée d'antan » avec un monsieur d'un autre âge qui s'applique avec sérieux sur le popotin de la dame. J'adore la porte insonorisée et j'imagine de l'autre côté un jeune prince charmant, amoureux de sa belle et qui se pose la question ce qui se passe dans le bureau de son... disons oncle. Difficile de se faire une idée précise, car ne s'échappent que quelques amplitudes. Mais on dirait que la dulcinée reçoit une fessée. Alors il s'approche de la porte et comble de chance le trou de la serrure permet l'indiscrétion, il devient témoin d'une correction de taille. Joli fantasme qui faisait partie de ceux de mon chéri, en imaginant certaines files de son entourage se faire remonter de cette manière les bretelles. Sorte d'ancêtre du fantasme :

Mériterait bien une !

Évidement, étant fille, je suis particulièrement titillée d'apprendre les circonstances qui déclenchent ce fantasme. Hélas à part de dire qu'ils adorent fesser pour faire plaisir à leur dame, beaucoup de messieurs préfèrent rester dans le politiquement correct. Tomber sur un monsieur qui nous raconte de belles histoires cuisantes... rêvées avant de s'endormir tient malheureusement d'un exploit. Car celui qui raconte des vraies à sa dame, enfin je ne fais pas un dessin...


Rien de plus simple ! Lui montrer mon c...l. Tout nu ! C'est selon mes expériences le plus efficace. Ce qui est considéré habituellement comme très mal élevée, prend dans l'intimité subitement une toute autre signification. Il arrive même de se trouver devant des louanges, proférés à haute voix. De découvrir l'âme d'un poète en notre compagnon ou encore de le voir se mettre dans un état sans précédent qui mérite de rentrer dans le livres Guiness de prouesses coquines du couple. Bref un truc attrape-mouche de plus basique qui passe outre la grande questions existentialiste de bien de dames :

Que puis-je me mettre  comme tenue  pour séduire !

Je doute qu'il y ait beaucoup de dames à s'extasier aussi longuement dans une situation inverse. Pour ma part, je n'aime pas trop immobilisme. Je me verrais mal de méditer devant et sur la nudité masculine. Je préfère nettement un corps d'homme tout nu en mouvement. Que ce soit après la douche ou surtout en produisant un grand effort physique. Dans mes fantaisies les plus folles je m'imagine de diriger un bataillon de parade, composé exclusivement de messieurs nus que je dirigerais d'une main de fer. Bref, niveau voyeurisme les filles de nos jours tiennent le choc face aux messieurs.

Yes we can !


J'ai eu un petit mot avec le lien dans mes mails. Pour le dire tout de suite, je n'y connais rien en rencontres sur le net. Alors loin de moi d'ajouter ma petite graine sur le pour et contre concernant la structure proposée. En lisant la présentation j'ai eu un petit sourire. Hors la fessée en couple, je suis intéressée principalement par la construction du fantasme et de sa transcription littéraire en textes de distraction. Je fais donc partie de ces personnes qui aiment papoter autour du sujet. Une blablateuse quoi!

Par conséquence je ne correspondent pas du tout au profil demandé.

Toutefois aucune objection pour faire passer le message, car je vois l'utilité d'un tel site qui permet à priori aux filles intéressées de rencontrer sans courir un (grand) risque...


… elle est de retour avec un post qui incite vraiment à réfléchir !

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !










Femme à lunettes (pour mon chéri)
















702 Fantaisies sévères chez les filles

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Ces rêveries aux yeux ouverts

Je vois une belle dame de jadis, paisiblement installée dans son fauteuil, le dos tourné aux choses qui vont se passer, en train de donner des instructions punitives à sa gouvernante. Cette dernière s'apprête à appliquer un châtiment de taille aux domestiques et filles de la maison. Et si elle met des gants pour manier la cravache, c'est peut-être pour éviter les traces de sueur sur le manche de ce bel instrument. Je sais de quoi je parle. Chez nous les instruments montrent des traces d'usure des deux côtés. Celui du poignet, côté de mon homme que le fait de me corriger fait sacrément suer et le mien qui a fait filocher le cuir, surtout du martinet, car j'ai les fesses dures. Ma jolie illustration est extraite d'un livre de Léon Pierre de 1932 qui s'intitule :


Il contient 16 magnifiques héliogravures dont on en trouve 10 en suivant mon lien en cliquant en haut de l'image « next image ». Il y a pas mal d'instruments qui passent comme le martinet, les verges, le fouet ou la main de monsieur.

Je suis une personne peu attirée par l’explicite. Les détails physiques m’importent moins que l'ambiance qui se dégage d’un support visuel. A peu d’exceptions près, je préfère les dessins aux photos. L’improbable passe mieux, ne nécessitant pas la moindre explication pour inviter la fantaisie à prendre son envol. Mon chéri regarde le dessin et sourit :

C’est tout toi, isabelle, la femme dans le fauteuil qui commande.

Il me connaît bien et il a raison. C’est la place qui me conviendrait le plus. Dans ma fantaisie. Enfin, au lieu d’un fauteuil, je préférerais un canapé. Et je ne suis pas trop tentée par les demeures avec cheminée. Je suis plus attirée par un décor moderne. Style maison ensoleillée. Je ne conçois pas le monde de mes fantasmes sous un aspect sombre. J’aime y mettre de la lumière. Regarder dans le moindre recoin. Examiner avec soin les détails. Avec un air amusé sur mes propres incohérences. Je ne connais pas le sentiment des rêves qui me hantent.

Comment avoir une vraie ouverture d’esprit, si on retourne déjà le regard de ce qui sommeille en nous ?

Ai-je pour autant envie de réaliser une telle mise en scène ?

Non, pas du tout. Et ceci sans regret. Peut-être parce que je suis satisfaite de ma vie. Être ménagère de moins de 50 ans, en élevant un enfant ne me parait pas déshonorant et n’exclut pas une ouverture au monde dans le sens du féminisme.

Sans confondre l’ouverture au monde avec les aventures. Sans confondre féminisme avec libertinage.

Certes je ne fais rien de reluisant qui avancera l’humanité. Je n’ai pas les capacités. Mais j’essaye d’apporter un peu distraction sans prétention à ceux qui viennent sur mon blog. Un petit rayon de soleil à ma manière. Une approche plutôt détendue envers un fantasme qui est souvent présenté en se passant des mots.

Je ne crois pas qu’une libéralisation de la fessée, je parle de la vraie, dans son sens primaire, peut se passer des mots.

Je suis peu étonnée que l’approche verbale et émotive de cette pratique se fait par les dames… dont l’idéal du couple inclut aussi à attribuer une place à la fessée.

La différence avec le dessin montré : Il concerne le monde de rêveries éveillées que la dame ne confond pas avec ses désirs réels. Je pense que la plupart de femmes ne sont pas compliquées. Il suffit de les écouter attentivement et penser au fait qu’une vie harmonieuse de couple les intéresse plus qu’une réalisation débridée de leurs fantasmes… Question de priorités qui relègue le critère de « l’émoustillement » plus bas dans l’échelle du choix d'un partenaire.

703 Qui domine qui ?

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Et si ce n'était que de la vanille ?

Je pense qu'envisager les choses qui se préparent entre le monsieur et la dame dans des termes de domination et de soumission est révélateur en soi. Si les deux partenaires s'y retrouvent, veut dire que la charge évocatrice et émotionnelle de tels mots les comble, il n'y a rien à redire

Par contre je trouve affligeant quand des personnes extérieurs à un couple recourent à de tels qualificatifs pour donner un nom à des ébats qui ne les regardent pas.

Cela me rappelle un peu la psychanalyse de comptoir. Elle émet une hypothèse et sans même attendre - comme un psychanalyste sérieux – s'il y a association ou pas de la part de la personne concernée, elle croit déjà détenir une vérité plus ou moins universelle. Bref, au lieu de tenir compte de l'individualité et de prendre le risque de s'exposer à la complexité de l'être humain, les adeptes de la pensée simple semblent croire qu'un simple mot décrit fidèlement ce qui se passe entre deux personnes.

Outre la domination/soumission il y a aussi d'autres points de vue pour considérer la situation de mon illustration. Tout simplement déjà sous l'aspect des pulsions impliquées. Par exemple, en me promenant vêtue comme cette dame, je suis sure que mon potentiel de séduction fait mouche sur mon chéri. La pulsion de base qui rend attirante une dame dénudée pour un homme avec une telle orientation est rehaussée en ayant recours aux petits éléments fétichistes, encrées dans la psychologie de mon homme.

Jouer sur la psychologie implique bien souvent de jouer sur ce qui est inconscient pour notre partenaire. Ce qui lui fait de l'effet malgré lui.

Prenons un exemple plus flagrant encore et imaginons la dame avancer langoureusement à quatre pattes vers le monsieur. De l'expérience, ce truc marche à la merveille avec beaucoup de messieurs. Même les plus vanille. A moins de tomber sur un inhibé qui dévoile justement la nature de son inhibition par la manière dont il essayer de nous dissuader dans notre démarche si j'ose dire. Là encore, pas besoin de contexte de domination ou de soumission. L'effet optique se transmet directement du cerveau du monsieur dans son slip.

Alors la dame, est-elle soumise ou plutôt ce que l'on appelle « un bon coup » dans le langage des amateurs de la vanille ?

Parce qu'elle sait non seulement créer un comble d’excitation chez le monsieur, mais aussi - contrairement à ce que l'on appelle une garce - « éteindre le feu » à la hauteur des espérances du monsieur, voire en les dépassant. Notons que la dame, du moins moi, n'agit pas forcement par altruisme, mais par pur intérêt. Un monsieur chauffé à blanc m'offre à mon goût personnel un surplus de plaisir. Et pour le dire clairement, autant que j'aime explorer beaucoup de terrains pour stimuler mon partenaire, autant la moindre réflexion sur un contexte de domination/soumission me couperais toutes mes envies.

J'aime plutôt me considérer et surtout être considérée comme femme entreprenante, femme active, imaginative...

Certes il y a parfois un arrière goût de bien vilaine fille chez moi quand je vais très loin dans ma provocation-séduction, mais cette métaphysique se soigne à la merveille par la fessée...

704 Mémoires d'une éducation sévère 13

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Désir ardent de fessée 7.1

L’effet sédatif du suppositoire de bonne nuit fut de courte durée et s’estompa après trois jours seulement. Lucie soumit son imagination et son ingéniosité à rude épreuve pour contourner le vilain obstacle, mais capitula devant les évidences. A force de tirer la ceinture dans tous les sens sous l’assaut de ses ardeurs, elle s’attira une irritation de ses parties sensibles.

Nadège toujours à ses petits soins se montra compatissante et octroya une crème apaisante qu’elle appliqua de ses mains après la toilette matinale sur l’entrejambe de Lucie en massant longuement que l’onguent puisse pénétrer en profondeur. Lucie approuva ce traitement par des petits soupirs de soulagement. Le soir venu, au moment de coucher Lucie, la tutrice répétait l’opération, suivie d’une talque pour peaux sensibles. Elle avait également une technique particulière pour préparer le terrain du suppositoire qui ne laissa pas indifférente son élève et qui lui tendit bien sagement son postérieur en abandonnant toute pudeur.

Nadège fit comme elle ne remarquait pas l’état tendu de Lucie et la dernière trop timide pour se confier à la première ne demanda pas un soulagement efficace. En conséquence le sommeil n’était pas au rendez vous et Lucie dormait de moins en moins, glissant dans une humeur que l’on peut qualifier comme nerveux ou du moins agitée. Son état s’aggravait de jour en jours.

En ce temps-là Lucie ne comprit pas le but visé par Nadège. Il lui fallut un long apprentissage avant que vînt l’illumination et nous allions suivre étape par étape le déroulement de cette initiation insolite.

Son plaisir sous verrou Lucie n’eut pas d’autre choix que de se confier entièrement aux mains de sa tutrice. Son corps approuva les méthodes, en développant une palpitante sensibilité qui lui révéla jour par jour de nouvelles sensations. Pour ainsi dire elle prit goût à cette discipline libidineuse. Si elle avait été toute seule au monde avec Nadège, elle ne s’aurait pas posé la moindre question. Hélas, sa tutrice ne se contentait pas d’imposer ce régime strict en toute discrétion et n’hésitait pas à exposer la condition de Lucie au vue du village entier. On savait bien que Lucie était volontaire et qu’elle se pliait donc par conséquence de son propre gré aux exigences de Nadège. Heureusement personne ne vit autre chose dans ce consensus que le désir de la fille de recevoir une éducation de qualité.

Lucie vivait dans la permanente crainte de voir revenir ses amies. Il lui parut impossible de leur expliquer se qui se passait dans sa tête et savait pertinemment qu’il serait très dur de leur cacher à la longue les détails de sa condition. Entre ses grands discours d’antan et sa docilité envers Nadège, l’abîme était trop grand pour passer inaperçu si elle ne trouvait pas une parade adaptée. Il était impératif d’obtenir un levé de la consigne à la maison avant que ses amies revinssent. Le seul chemin consista dans une conduite irréprochable aux yeux de Nadège.

Lucie n’était pas dupe. Elle se sentit prisonnière d’une attirance basée sur ses émois intimes, plus forts que sa raison et son bon sens. Elle maudissait la faiblesse de son caractère qui ne lui permit pas de mettre terme à cette relation qui lui pesait souvent et qui lui fit perdre l’estime de soi. Mais il suffisait le moindre contact corporel avec Nadège pour que sa honte se transformât en jubilation jouissive. Et la tutrice savait bien doser ses attentions.

Lucie se sentait protégé en son secret qui entremêlait volupté et obéissance. Et même Nadège qui la matait en quasi permanence n’avait pas fait le rapprochement entre activités nocturnes qu’elle jugeait normal et leurs motivations profondes.

Mais la suspension de sa détente nocturne compliqua les choses. Elle se trouvait privée d’un moyen efficace pour maintenir son équilibre entre sa haine contre la tutrice. Elle la jugea seule coupable autant de ses désirs étranges que de son son attirance pour elle. Et au fond elle se languissait des caresses de sa tutrice.

Pendant la nuit elle développa un goût pour les voies parallèles de l’apaisement sensuel par le seul accès possible. Processus qui renforça encore plus la sensibilité érotique de son derrière.

Pendant la journée, Lucie se comporta avec beaucoup d’insolence et afficha une conduite exécrable. Quand Nadège la déshabillait pour la punition elle ne frissonnait pas de peur, mais d’attente impatiente pour accomplir sa danse rythmique sur les genoux de sa tutrice. Le mélange de douleur et de volupté lui fit du bien, mais ne la calmait que pour quelques heures. Elle fit tout pour s’attirer la colère de Nadège, poussée par un ardent désir de recevoir de nouveau une bonne fessée salutaire.

Dans un premier temps elle maîtrisait son comportement odieux au point d’éviter ses dérapages en cas de visite d’une autre tutrice. Mais un jour elle découvrit la tentation de se voir prise en flagrant délit devant une voisine.

L’occasion se présenta devant l’esthéticienne qui entretenait une relation amicale avec Nadège et qui passait souvent à la maison. Elle aussi était une femme très coquette et parfaitement soignée de la tête au pied.
Elle avait effectué un stage de perfectionnement en ville, découvrant ainsi les dernières tendances à la mode. Elle parlait en long et en large du progrès dans l’épilation et plus particulièrement celle du maillot. En écoutant sagement, Lucie apprit pour son plus grand amusement que de plus en plus de filles en ville optaient pour des « coupes » très réduites qui se résumaient parfois à un petit triangle, carrée ou rectangle très étroit. L’esthéticienne vanta les avantages hygiéniques de telles mesures en insistant aussi sur l’aspect soigné.

Lucie qui était une vraie brune avait été toujours très enchantée par sa toison abondante qu’elle affichait sous douche avec grande fierté devant ses camarades et qui lui valut beaucoup d’admiration. Il existait un véritable concours parmi les filles, laquelle parmi elles possédait la décoration naturelle la plus impressionnante et Lucie sortit toujours en vainqueur incontestable.

Nadège pour sa part montra un grand intérêt pour ce sujet et demandait moult explications. Lucie se contenta de rigoler bêtement de temps en temps, puis poussa l’indiscrétion au point de demander à la femme si elle avait déjà essayé cette nouvelle mode sur elle. L’esthéticienne affirma en avouant qu’elle avait opté depuis ce stage pour un petit ticket de métro. Lucie se chopa un fou rire à ne plus s’en tenir sur sa chaise, puis ajouta inspirée par une mauvaise voix :

Je serais trop curieuse de voir une tutrice avec un entrejambe aussi ridicule.

Un silence menaçant s’instaura aussitôt. Puis l’esthéticienne se tourna vers Nadège.

705 Liens de discipline domestique (166 ème édition)

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Au menu cette semaine : Surprendre son chéri au quotidien


Le surprendre avec une tenue qui lui donne envie de parler avec ses mains. Puis ce geste qui lui plaît particulièrement. Et à moi aussi. Même devant nos proches. J'aime quand mon chéri marque son territoire. J'aime également quand sa main remonte ma jambe pour se glisser sous ma jupe. Ce geste-ci nous le réservons réservé pour notre intimité. Évidement quand c'est possible je ne manque pas de mettre des bas. Mon homme en est friand et à moi ce petit geste ne me coûte rien. Déjà littéralement parce qu'il n’hésite pas de m'en offrir. J'ai vite pris l'habitude et il arrive parfois quand je me penche trop que ma jupe remontre pour dévoiler ce qui se trouve en dessous. Si cela se passe en public, je risque gros, une bonne fessée pour trouble à l'ordre public. Enfin une fessée le plus souvent plutôt coquine dont la brûlure sert pour me mettre en appétit pour autre chose.

Non, la DD n'est pas psychorigide !

Et pour éviter qu'elle prenne une mauvaise tournure, il vaut mieux oublier la main lourde quand il s'agit de punitions prétextes.


Sans tomber dans un registre exhibitionniste, les occasions pour enlever sa culotte devant son homme ne manquent pas. Par exemple sur un long voyage pour la pause pipi. L'effet est accentué en portant une jupe droite et de hauts talons pour la performance d'équilibriste et de contorsionniste.

Tu peux me tenir ma culotte s'il tu plaît ?

Difficile à dire ce qui se passe à ce moment-là dans la tête du monsieur, médusé et amusé à la fois. Pense-t-il au charme de la petite pisseuse qui a peur de tacher sa superbe culotte brodée ? Pense-t-il que les filles ne soient pas capables de se débrouiller aussi bien en pleine nature que les garçons. Serait-il curieux au point de ne pas détourner son regard pour voir comment font les filles ? Peu importe !

Une fois la culotte entre ses mains quel fier regard de conquérant !

Et s'il me penchait pour l'occasion sur le capot de la voiture ? Hic et nunc ! Ici et maintenant ! Après tout, les pauses sur la route servent à se détendre, non ?


Chéri au secours, j'ai besoin de toi !

En principe cela marche. Enfin, je ne le fais jamais pendant ses heures du travail. Là, il n'a aucun humour et je le comprend. Bref, il arrive assez vite, car je ne l'appelle pas trop souvent non plus.

Tu peux me le mettre ?

Question quelque peu magique qui fait à chaque coup briller ses yeux. Puis, la bonne humeur pour la suite de la soirée est assurée. Que ce soit au restaurant ou chez des amis, il a le coup d’œil. Mes petits moments de « bien-être », mes yeux à mis clos et cet air de volupté. A peine perceptible pendant la fraction d'une seconde. Il adore particulièrement quand la discussion entre amis se tourne vers les habitudes intimes des dames et moi avec mon air de sainte ni-touche je fronce un sourcil comme si j'allais sortir une remarque de plus moraliste. Tout le monde me regarde et j'ai l'impression que mon attitude constipée contribue à délier encore plus les langues. Comme si c'était une tare d'être coincée...

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !

























706 De la fessée bon enfant

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De quel enfant parle-t-on ?

Dès notre rencontre, j'ai su très vite surprendre mon chéri (émerveiller selon ses propres mots) par mes gaffes et insolences. Non pas qu'il me manque de l'instruction, mais une solide expérience de la vie n'est pas mon fort. Étant été presque toujours secourue au quart de tour dans bon nombre de situations, je n'ai pas développé l'ambition de m’intéresser aux choses « ingrates » de la vie courante. Par exemple je ne saurais ouvrir un capot de voiture ou changer un sac d’aspirateur. Ni même comprendre un mode d'emploi de quoique ce soit. Il faut que l'on me l'explique sans certitude qu'il y ait résultat. Le tout perçu par ma part comme un dû, en me comportant en gamine trop gâtée. Comme dit parfois mon homme exaspère :

Il y a des fessées qui se perdent avec toi, isabelle !

Et bien que mes corrections se passent la plupart du temps de manière ritualisée (va chercher le martinet, isabelle), il arrive à mon chéri d'agir sur le champs. Sur le lieu du crime, à chaud.

J'avoue que j'aie un faible pour le voir vraiment énervé et parfois je pousse le bouchon un peu loin.

J'aime quand je réussis qu'il se défoulé en me penchant sous son bras ou mieux encore en m'allongeant sur ses genoux. Un comble de virilité à mes yeux qui m'évoque la poésie de la discipline domestique caricaturale et très glamour des dessins humoristiques des années 50 dont je suis si friande. Généreux dans ses gestes et dans sa façon de me sermonner pendant ma punition, j'adore prendre pour mon grade. Car au fond cela reste une action sans grand risque, correspondant à un registre de la bonne fessée bienveillante d'antan.

Nous sommes très proche de mes fantasme de jeune fille qui révèlent un jeu de séduction de nature particulière.

Regardons cela d'un peu plus près. La séduction classique sert en fin de compte à procurer une excitation sexuelle chez le monsieur, de préférence facilement visible sous son pantalon. Pour conclure le tout par un joli moment de galipettes. Dans la « séduction particulière à la fessée » ce qui est visé, n'est pas le pantalon tendu (enfin aussi, je suis vicieuse!), mais plutôt l’énervement du monsieur avec d'aussi belles étapes que l'entendre hausser le ton (assez isabelle), mettre en garde (tu te laguis du martinet?), menacer, de préférence sur un mode de langage qui s'adapte à la situation, en faisant tilt dans ma petite tête :

Jeune dame je vais t'apprendre les bonnes manières !

On comprend facilement vu que la situation retrace un fantasme de la dame, datant de son enfance ou adolescence, que le choix des mots est primordial. Certaines dames préfèrent par exemple l’appellation « jeune fille ». Bien entendu notre « jeune fille », n'en est pas une en réalité.

Il ne faut pas confondre un fantasme de longue date avec ce qui devenue la personne.

Tandis que la personnalité continue à évoluer, le fantasme c'est un peu la belle au bois dormant. Il peut rester en sommeil pendant des années pour se réveiller un jour avec la fraîcheur de la jeunesse. Voila qui est très bien compris par l'analyse transactionnelle qui parle significativement de l'enfant en nous.

Cet enfant en moi se présente sous forme d'une vilaine fille qui fait sa crise d'adolescence...

...à l'âge adulte, vu le décalage entre ce que je suis et mon fantasme. Une bonne partie de mon plaisir consiste à déstabiliser mon chéri, à l'agacer par mes exigences et par ma mauvaise fois pour que son énervement soit réel.

Comme si j'étais un vraie ado.

Certes il me connaît et essaye de se soustraire à mon petit ménage. Mais vu qu'il partage mon fantasme de fessée, veut dire que le sien fonctionne en analogie et complémentairement au mien, il en va de soi qu'il y ait rapidement interaction...

707 La poésie de la fessée

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C’est au rythme de la fessée que les poètes doivent l’invention de la versification. Il existe une communication essentielle entre la main qui s’abat sur le postérieur du récalcitrant et celle qui court sur la page inspirée. 

Magnifique réflexion de la non moins magnifique Chantal Thomass, grande créatrice de lingerie. J'aime son air d'antan et l'ambiance chic de garçonnes entre elles qui me rappelle le temps quand j'étais encore célibataire. J'avais un faible pour des copines ayant au moins le double de mon âge et j'étais d'excellente écoute quand elles m'expliquaient les méandres de la vie ou plutôt de leur vie. Certaines avaient encore connu l'époque de la fessée et bien évidement j'étais particulièrement attentive lorsqu'elles abordèrent le sujet. Je riais de bon de cœur des mésaventures de leurs malheureux postérieurs et je me suis même vue à plusieurs reprises menacée d'une bonne fessée.

Après avoir lu la petite citation, ce contexte prend une toute autre tournure dans ma fantaisie. La poésie a toujours été mon pot de chagrin à l'école. Je n'y comprenais rien, malgré une bonne volonté et d'innombrables heures d'efforts. S'ajoute que je suis une personne qui ne se décourage pas, alors je ne compte même pas mes tentatives infructueuses en cette matière.

Peut-être aurais-je mieux compris par le biais de la fessée ?

Sous forme de travaux pratiques. En imaginant allongée sur les genoux d'une sévère et bienveillante copine, me faisant rentrer par la peau de mes fesses et de manière fort sonore les secrets de la versification.

Je profite pour une petite mise à jour de ma rubrique



Mise à jour du 19/05/2015


























708 Mémoires d'une éducation sévère 14

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Désir ardent de fessée 7.2


Je n’aurais pas cru que tes méthodes permettent une telle niaiserie à tes élèves.

Nadège était proche de perdre son calme habituel. Elle se sentait profondément humiliée devant sa copine qui mettait la réussite de ses méthodes en doute. Mais elle ne pouvait pas lui donner tort.

Lucie, viens ici que je te déshabille. Tu as un important rendez-vous avec le martinet.

Lucie se laissa faire sans broncher. Elle se sentait bien supérieure à Bérénice qu’elle venait d’insulter et qui cachait sous ses allures austères un secret d’un ridicule hilarant qui lui enlevait tout sérieux aux yeux de la fille. Avec une démarche hautaine digne d’une reine, Lucie décrocha le martinet pour le présenter à genoux dans une posture irréprochable à sa tutrice en demandant pardon et punition.

Je te trouve bien orgueilleuse, Lucie. Je saurais te faire passer ces grands air, crois moi. Tu vas regretter amèrement ton comportement.

Quelques minutes plus tard, une Lucie repentie, implorait le pardon de sa tutrice et de son amie offensée avec une sincérité qui ne laissait aucun doute sur la sévérité de la sanction. Elle réalisa que le ridicule la concernait plus que l’invite qui regardait avec ravissement un derrière brûlant qui témoignait d’un faux pas de taille. Très embarrassée Lucie prit sa place au coin.

Elle n’arrête pas de faire des bêtises. Elle présente encore trop de problèmes de discipline,

s’excusa Nadège.

Pourtant jugeant la couleur de ses fesses elle reçoit des déculottées mémorables chez toi.

Tout à fait. Je ne la prive jamais du martinet quand elle le réclame. 

Puis Bérénice devint à nouveau professionnelle.

Ton élève possède une forte pilosité. Ce n’est pas très esthétique je trouve. Surtout sur une aussi jolie fille.

Pourtant ses poils sont très soyeux. On dirait de la soie.

Et s’adressant à Lucie, elle rajouta :

Approche-toi, qu’on te regarde un peu. Je suis sure que Bérénice pourrait nous donner de précieux conseils pour ta beauté.

Lucie pâlit aussitôt. Le martinet lui faisait depuis quelque temps un effet bien particulier qui risquait maintenant se dévoiler au grand jour. Bérénice examina soigneusement la toison de Lucie. Elle devrait se rendre compte de l’humidité sur le champ. Lucie trembla en attendant le verdict.

Elle est toute humide,

dit la femme d'un air très professionnel.

Je crois qu’elle transpire fortement en cet endroit à cause de sa jungle. Et une sévère fessée n’arrange rien. Bien au contraire. Ce n’est pas très hygiénique. Elle risque des infections.

Justement ! J’allais t’en parler. Je dois lui passer deux fois par jour de la crème. Elle est irritée en permanence. J’aimerais que tu l’examines. Lucie adopte la posture du suppositoire.

Çà m’a l’air bien grave,

dit Bérénice après une étude approfondie.

Je crois que pour bien faire, il faudrait tout enlever et la garder lisse.

C’est bien mon avis aussi. J’avais déjà envisagée de lui faire la totale, mais esthétiquement il me plaît guerre de voir Lucie avec une barbe de trois jours dans l’entrejambe. Puis ça pique et risque d’empirer les chose.

Pourquoi tu ne la fait pas épiler intégralement à la cire. Il n’y a pas plus pratique pour une hygiène intime impeccable. Cela fait propre et lui donnera un air de jeune fille très sage.

Cela s’épile intégralement ce genre d’endroit ?

Bien sur comme je viens te raconter.

J’avais mal compris,

dit Nadège stupéfaite.

Le ticket de métro, ce n’est vraiment qu’un petit rectangle ? Et les lèvres alors ?

A zéro, comme les petites. Tu n’as qu’à me confier Lucie. Elle sera toute lisse comme si elle n’avait jamais eu des poils avant. Si tu veux je pourrais la prendre un matin et je te la rendrez glabre à souhait une heure plus tard.

L’idée me séduit beaucoup. Mais cela t’arrive de pratiquer ce genre de choses dans ton cabinet ? 

Pas encore, mais j’y compte bien. D’où mon stage. Ce sera un travail de longue haleine. Tu connais des femmes à la campagne qui voudraient ressembler à une adolescente ?Mais j’aimerais bien leur faire une démonstration de la technique et de différentes formes. Il me manque justement un modèle. Lucie n’aurait pas envie de gagner un peu d’argent de poche ?

La proposition enchanta Nadège.

Lucie sera volontaire. Il est temps qu’elle apprenne à se débrouiller dans la vie. Mais cela ne résout pas le problème de sa région anale.

Justement. Intégral, c’est intégral. Son anus aussi sera débarrassé de tout poils. Elle sera nettement plus gracieuse et accessible quand tu lui pendras la température ou tu lui donneras un suppositoire. Mais fais gaffe, il y a quand même un inconvénient. Il parait que les filles épilées se touchent plus que les autres vu la sensibilité de l’endroit.

Nadège coupa court :

Lucie ne mange pas de ce pain-là. Nous avons un petit secret Lucie et moi, n’est-ce pas ? Va chercher ta ceinture.

Bérénice ne fut pas convaincue :

Oui, il me semble qu’elle protège bien la partie frontale. Mais le derrière reste accessible par la découpe pour aller aux toilettes. C’est la porte grande ouverte aux mauvaises habitudes.

709 Liens de discipline domestique (167 ème édition)

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Au menu cette semaine : Douces provocations


Je pense que la fessée entre adultes a mauvaise réputation parce que bien adeptes de la fessée la font passer pour un acte de soumission de la dame.

Pourquoi ne considérions-nous pas la nature provocatrice de l'acte ?

Comme si la dame n'était pas au courant de son pourvoir de séduction en présentant son derrière dénudé ou à dénuder à l'attention du monsieur.
Peut-être son plaisir consiste-t-il tout simplement à provoquer avec la nudité de son corps pour se payer une mauvaise conscience d'enfer.

Une fille bien élevée...

...on connaît la chanson. Ne prenons pas cette mauvaise conscience trop au sérieux non plus. Contrairement à ce que l'on imagine elle n'est pas toujours un fruit de l'éducation, mais de notre imagination étant enfant sur ce que serait la morale. Alors peut-être les intentions de notre dame sont-il de plus basique : Une fessée rédemptrice sans prise de tête et métaphysique à connotation de BDSM ! Le tout dans le but de s'adonner avec encore plus d'ardeur à provoquer ces messieurs, mais cette fois-ci, la dette étant payée, sans mauvaise conscience.

Une vilaine qui comptera bien de rester une vilaine !

Douce provocation à l'allemande (petit clip pour voyeurs)

Grand fan du cmnf (homme habillé, dame toute nue), mon homme s'est vu au bout de ses rêves avec moi quand au début de notre relation je lui ai parlé de ma passion pour marcher toute nue en peine nature ou de faire du vélo toute nue.

Je n'oserais pas...

...m'a-t-il timidement avoué et j'ai trouvé cela très touchant. Je n'aime pas trop les messieurs qui n’arrentent pas de se vanter de tout et de rien et surtout de leur grande liberté des mœurs. Bref je lui rétorqué :

Fais comme tu en as envie !

Il a pris beaucoup de plaisir de me voir évoluer toute nue, tandis que lui restait habillé. Certes nous sommes restés dans des endroits discrets, faits pour, mais je pense que l'idée d'une telle visite dans un musée devrait lui plaire. Notamment que cette expo a aussi accueilli un groupe de nudistes. Notons que la dame du clip est une artiste spécialisé dans les performance à nu et n’hésite pas pour la bonne cause de prendre également toute nue le tram aux heures d'affluence. Enfin, on peut facilement se rendre compte que cela ne choque pas les braves gens.


Je dois me sauver, sinon je risque une fessée qui n'a rien d'excitant !

Il est toujours édifiant dans une relation naissante de partir (au petit matin) en laissant planer une petite allusion pour qu'elle s'incruste bien dans la tête de notre chéri en devenir. Je me souviens de sa tête quand je lui dit que j'avais trouvé un esthéticienne qui pratique l'épilation intégrale. Ce qui n'était pas gagné d'avance à la fin du dernier millénaire en zone rurale. Un autre jour je lui avait fait part de mon goût pour les bas couture, introuvables également dans le coin à cette époque. Et même s'il s'agit d'un certain point de vu de rien de plus que de petite phrases, leur pouvoir était considérable. Bref j'ai vu le trouble dans les yeux de mon homme et à la prochaine rencontre l'effet de ces troubles sur sa libido !

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !

























710 Un monsieur passionné des fesses... (Lundi cinéma)

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Il n'existe pas pour moi plus belle déclaration d'amour...

...que de voir et d'entendre un homme qui s'extasie sur la nudité du corps de sa dame. C'est la chair qui parle dans son langage universel et éternel. Et mon penchant va plutôt vers une déclamation de plus rustique, maladroite et touchante à la fois.

Oui, la nature fait bien les choses et il m'est donc facile avec mes armes de femme d'aguicher mon chéri. Autant la position que la tenue de la dame s'y prêtent à la merveille. Je m'y vois déjà en place, mes fesses en l'air, en attendant que mon chéri rentre à la maison. Étant la ponctualité personnifiée, il ne devrait pas tarder. Ma tête posée sur notre canapé, ce dernier toujours impeccablement ciré, je m'enivre de son envoûtante odeur de cuir. Je sais que mon homme adore également la sensualité de cette matière, surtout quand ma nudité intégrale ou partielle s'y ajoute. Mes yeux à mis clos, j'essaye d'imaginer les choses qui vont se passer.

A quelle tentation mon chéri va-t-il céder ?

De la vanille classique de plus glamour, peut-être en m'imposant sa cadence par quelques fortes claques sur mon popotin. Celles qui augmentent en volume mes soupirs de plaisir et mes chuchotements :

Plus fort chéri !

Et libre à lui de décider ce qui méritera « un plus fort ». Mais peut-être serait-il plus tenté aujourd'hui par ma petite porte. Préparée comme il l'aime, par un soigneux lavement pour une hygiène impeccable et puis lubrifiée à la vaseline par un long massage intérieur et extérieur. Évoquant une brillance « prêt à l'emploi ». En gros...

ma vilaine main a été au service d'une noble cause !

Mes fesses bien en l'air donnent une magistrale vue sur mon entrejambe. Je jouis de ma provocante passivité et surtout de mon pourvoir érotique sur mon chéri. J'entends derrière moi sa respiration, plus forte que d'habitude et je me languis de sa main pour vagabonder sur les terrains réservés aux grands garçons. Il aime les jeux de doigt et il peut passer un long moment à parcourir les courbes de mes parties intimes, à les explorer comme à la première fois, à les enflammer, à les rendre humides. Il aime voir mon corps dans un guêpière satiné qui gonfle, non seulement par effet optique le volume de mes fesses.

Ils veulent toujours plus ces grands garçons.

Il lui arrive, échauffé à bloc, sous l'emprise de la situation, de clamer haut et fort sa passion pour une peau dépourvue du moindre poil, parler longuement de l'élégance de mes bas ou de la beauté d'une jambe féminine dans un escarpin à haut talon. Sans oublier bien entendu le centre de son attraction : Mes fesses. Non, il n'est pas rien qu'un peu fétichiste, il est résolument fétichiste.

(Extraits du film : Les galettes de Pont Aven)

711 Manie de (mon) grand garçon

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S'asseoir sur ses fesses nues

Mon homme adore me savoir à la maison en string ou mieux encore sans rien du tout sous une robe ou jupe ample. Celles qui se soulèvent facilement au moindre coup de vent ou quand je manifeste ma joie de vivre en me mettant à danser.

Pas la peine d'être une fine psychologue, il a du mal à cacher son trouble.

Et malgré son attitude quelque peu hostile, du moins verbalement envers les strings, je crois qu'au fond ce n'est qu'une formalité comme chez beaucoup de messieurs de sa génération. Ils ronchonnent pour ne pas passer pour un affreux macho qui trouve son excitation dans la manière de la dame de s'habiller. La sexy attitude semble difficilement conciliable avec « l'esprit Woodstock » comme si elles s'entourait d'un sceau de perversité.

Non, ce n'est pas une exigence de sa part, une tenue qui m'est imposée sous prétexte de discipline domestique. Et encore moins dans un but punitif. Voilà pourquoi mon plaisir de le narguer si légèrement vêtue reste intact.

Non, je n'ai pas systématiquement droit à une ou plusieurs claques sur mes fesses à chaque fois que je passe à côté de lui. Je crois même qu'une telle compulsion m'agacerait vite de la part d'un homme. Il sait rester raisonnable, même si la main le démange. Quand il me soulève ma jupe ou robe, nous restons dans un registre de festin. L'acte s’accomplit avec délicatesse, accompagné de jolis compliments sur mes rondeurs qui me vont droit au cœur. Sa main est câline, en effleurant ma peau pour me provoquer de délicieux frissons. Parfois sur mon popotin de petits bisous qui quand nous nous sentons câlins tous les deux se transforment vite en ardents ébats.

Bref nous avons une vie affective et sexuelle à part entière en dehors de la discipline domestique!

Je pense qu'ici se trouve une bonne partie de la recette pour une longévité de notre DD. D'autres se trouvent dans l’acception de nos « bizarreries » mutuels. Par exemple mon chéri aime beaucoup quand je me promène sans culotte ou en string à la maison que je pose mon fessier tout nu directement sur le canapé ou une chaise, en levant délicatement ma robe ou jupe. A condition que la coupe de mon vêtement le permet.
Alors il tourne sa tête dans toutes les positions imaginables pour ne pas perdre une miette. J'ai presque l'impression de me trouver avec un ado qui s’intéresse au plus haut degré à ce qui se trouve sous les jupes d'une fille. Et son extase atteint un comble quand je suis en bas et porte-jarretelles. Évidement, il m'est très agréable avec si peu d'effort de me trouver au centre de l’intérêt de mon homme. Ayant pris tellement habitude, un jour j'ai fait mon geste en présence mes parents, causant ainsi un grand amusement familial.

Qu'est-ce qui t'arrive isabelle ?

Euh... j'aime bien le contact avec le cuir...

712 Mémoires d'une éducation sévère 15

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8.1 Discussion entre femmes

Non Lucie, il est hors de question que je revienne sur ma décision. Le rendez-vous chez Bérénice est pris et tu t’y présenteras dans deux semaines comme convenu. Ne t’inquiète pas, je serai avec toi.

Lucie avait demandé un entretien entre femmes, expression que Nadège affectionnait tant. Ces conversations se passaient toujours autours d’une « bonne tisane ». Son aversion contre cette boisson, infâme à son goût, n’avait pas changée. Un jour elle osa en parler à sa tutrice qui l’écouta attentivement. Nadège ne prit jamais une critique à la légère et ne refusa jamais de faire tour d’une de ses règles de bonne conduite. Elle partait du principe que rien ne s’imposait sans raison et l’élève avait le droit « d’exiger » une explication. Cette transparence lui valut l’estime de sa protégée qui, malgré l’intransigeance sur les décisions prises, vit une porte à saisir pour améliorer ses conditions d’éducation.

Ce jeu de force la stimulait fortement. Elle aimait trop les défis et la difficulté ayant compris que la vie appartenait au plus habile. Chaque entretien avec Nadège lui parut comme un excellent moyen d’exercer sa technique d’argumentation et elle n’hésita rarement de saisir son droit ; au point que ces têtes à tête devenaient une habitude quasi quotidienne après le goûter. Ce moment de liberté renforça significativement le lien entre tutrice et élève.

Il en va de soi que Lucie sortait toujours perdante pendant des semaines. Elle n’en voulait rarement à Nadège et passa des longues heures à cogiter sur des meilleurs raisonnements pour la prochaine fois. En plus, Nadège ne considérait jamais un sujet comme clos. Lucie avait le droit aussi de revenir à tout moment sur n’importe qu’elle discussion en apportant de nouveaux éléments. Par contre elle n’admit pas une reprise sans fondement, motivée uniquement par une prise de tête. Dans ce cas elle rappela Lucie les conséquences d’un comportement de gamine en la traitant ainsi. Elle ne s’adressait plus à la raison de son élève, mais à sa peau des fesses, plus susceptibles de comprendre les règles du jeu.
Quant à la tisane elle écouta Lucie longuement avant de trancher :

Il en ressort que de ton aversion se base sur rien d’autre qu’une simple histoire de goût personnel. Pour te rassure, je n’aime pas la tisane non plus, mais j’en bois parce que je suis convaincu du bien fait.

Lucie fut stupéfaite. Il s’agissait de la première confidence intime -d’une très longue série - de la part de sa tutrice et il n’est pas exagéré de prétendre que Nadège gagna ainsi la confiance de sa protégée. Lucie savoura en quelque sorte sa première victoire et se sentit encouragée dans ses efforts. Cependant le contrecoup de sa découverte fut cher payé. Elle dut étudier un épais manuel sur l’art et l’utilisation de la tisane et se vit contrainte de contrôles écrits sur son savoir fraîchement acquis. Il est évident qu’en dépit de bon résultat, elle affronta le martinet jusqu’à ce qu’elle afficha de solides connaissances sans lacunes.

En cet après-midi pluvieux, Lucie exposa son point de vue sur l’épilation qui la menaçait. Et elle se prit mal. Elle évita bien sur l’origine de ses rougeurs, mais se basait en toute honnêteté sur ses craintes concernant la rentrée et la douche commune avec ses copines après la gym.

Une forte pilosité ne fait pas de toi une femme responsable ou plus mature qu’une autre. Tu n’as pas besoin de tes poils pour afficher ta féminité non plus. Je ne t’impose pas une telle mesure pour te ridiculiser devant tes amies, mais pour améliorer ta santé. Tu seras intégralement épilée que cela te plaise ou pas. C’est ton bien-être qui te fera comprendre le sens de cette mesure. Puis n’essaye pas de me faire croire que l’envie de dénoter ne fait pas partie de ta personnalité. Il serait temps que tu commences à t’assumer avec tes points forts et faibles.

Lucie se sentit vaincue et essaya de gagner un peu de liberté sur un autre terrain.

Dans un autre ordre d’idée,

commença-t-elle timidement,

je ne vois plus l’utilité de mes cours de gym. Nous en faisons assez tous les matins. Il serait plus judicieux que je choisisse un autre sport qui m’apportera des atouts complémentaires.

Tu as mûrement réfléchi ?

Il me semble…

Dans ce cas je ne vois pas d’objection. J’allais t’en parler de toute façon un de ces jours. Je verrais d’un très bon œil que tu t’inscrives à la fanfare comme majorette.

A suivre

713 Liens de discipline domestique (168 ème édition)

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Au menu cette semaine : Ces choses qui se passent dans notre dos


Assez souvent d'ailleurs. Au début j'avais du mal à m'y faire. Il y a un côte particulièrement vexant, de devoir exposer son fessier fraîchement châtie, rouge comme pas permis et... douloureusement brûlant au bon plaisir de la personne qui vient d'appliquer la discipline.

Que ça te serve de leçon, isabelle !

Ben oui, on ne fait pas la fière en entendant dans son dos de petits sarcasmes, pendant que l'on essaye tant bien que mal avec la culotte ou pire encore avec le string et le jeans autour des chevilles de rejoindre le coin. Interdiction de se retourner, cela va de soi. « Démarche » qui fertilise hautement l'imagination.

Mon homme dans mon dos, que fait-il ?

A vrai dire j'ai tout imaginé au fil du temps, de la mine réjouie ou de la hilarité sur le visage à la vilaine main qui se glisse dans son pantalon. Cette dernière idée m'est venue un jour quand sachant mon homme sorti de la pièce pendant un moment, je n'ai pas pu résister de me passer ma main entre mes jambes, étonnée à quel point ma correction m'avait fait de l'effet... malgré moi.

En gros, pendant ma correction, je n'ai pas l'impression de vivre une situation excitante.

Je me sens... corrigée, remise à ma place. Par contre l'inconscient travaille et doit fournir matière à s'extasier pour mon entrejambe. Et cela se voit parfois en allant au coin.

Alors tu as pris du bon temps sur mes genoux , isabelle ?

Là, j'ai envie d'exploser, de gifler mon homme. Il vaut mieux donc que je me dépêche pour rejoindre mon coin et de me calmer. Et à vrai dire cela me réussit. Je compose dans ma tête mes sujets pour mon blog, je structure ce que j'ai à faire dans la semaine et surtout je fonds vite en gratitude envers mon chéri. Je n'ai pas de doute, la fessée que je viens de recevoir m'a fait beaucoup de bien.


Combien de fois quand j'étais ado, j'ai imaginé une situation qui rejoint le pur classicisme freudien, un fantasme sur un mode « une copine est punie ». C'est la position de la spectatrice qui rend la fantaisie agréable et qui permet en même temps de libérer une phénoménale quantité de sentiments haineux envers la vraie personne qui sert de (fille) modèle. Une de mes copines éloignées, une que je ne peux pas saquer. Dans un fantasme il est facile de trouver un prétexte pour arriver à l'improviste.

Comme tu vois isabelle, ta copine reçoit encore la fessée quand elle n'a pas été sage...

Ah quel instant jubilatoire ! Joie de courte durée, toutefois. Subitement un sentiment de jalousie de ma part. Je me souhaite à la place de ma copine. Je la jalouse de la fessée qu'elle reçoit....


Pour finir une petite pensée à Constance et Simon qui ont retiré leur blog du net.

Je vous souhaite à tous et toutes un excellent week-end !
























714 La fessée en plein air (Lundi cinéma)

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De préférence sur la terrasse devant chez soi

Au début de notre couple nous avons vécu pendant un moment à la campagne, dans une maison permettant mille et une fantaisies. Alors pour me punir, mon homme aimait bien se mettre à son aise dans une ambiance de « chez soi ». Il entendait par là de s'installer sur la terrasse...

...trouvant une correction en plein air au grand jour plus saine et surtout plus éducative pour une jeune femme.

Le petit frisson, bien qu'avec un risque minime de nous faire surprendre, a toujours été au rendez-vous pour moi et a contribué - pour être honnête – à intensifier mon état émotionnel. Ce rituel me provoqua infailliblement la sensation de retourner en adolescence, celle qui n'a jamais existée autre que dans mes fantasmes. Tous les éléments de notre rituel me paraissait subitement crédibles. Il me semblait une évidence de devoir baisser mon jeans et ma culotte devant mon homme, de l'écouter attentivement pendant qu'il me sermonnait avec le martinet déjà en main. J'ai senti à chaque fois monter, malgré une mauvaise conscience bien affichée de la fautive, l'envie d'essayer sérieusement de négocier ma punition, de minimiser mes écarts de comportement, de tenter à corrompre mon homme par des promesses de toute sorte. Or rien ne fit, car il ne manque pas de fermeté.

Le moment de la vérité venu, il me penchait sous son bas gauche pour m'appliquer une solide fessée au martinet.

Il en va de soi que là j'avais « d'autres chats à fouetter » que de me soucier d'un éventuel témoin involontaire. Absorbée par l'action, je n'ai pas dû livrer meilleure prestation que l'on attribue aux filles corrigées d'un autre âge. Voila pourquoi mon chéri aimait parler d'un pitre spectacle de ma part. Toutefois j'ai toujours ressenti un énorme soulagement d'être rappelée à l'ordre de cette manière. Il m'était ô combien rassurant autant de savoir le martinet à la maison autant de le savoir en service en cas de besoin.

Et surtout … j'étais fière comme pas permis de recevoir une éducation aussi stricte !

Enfin les histoires de vraie fessée punitive entre adultes parlent rarement des répercussions sur la libido... le soir au lit !

715 Punie pour un oubli de culotte

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Quelle belle invitation à la fessée

Un vieux magazine, datant d'un temps que je n'ai pas connu, me saute aux yeux sur un marché aux puces en Allemagne. A côté de moi, mon chéri qui commence à faire de gros yeux, en voulant me faire croire qu'il n'a rien vu. Le connaissant il craint - à juste titre - mon exubérance. Par conséquence il est un peu gêné en ma compagnie dans ce lieu public de laisser libre cours à sa pulsion d'acheter discrètement l’objet de sa convoitise.

Une belle dame avec un sourire éclatant, en robe légère chevauche un cheval en bois de fête foraine. Sans se méfier du petit coup de vent qui lui soulève sa robe, dévoilant ainsi des bas blancs, tenus par un porte-jarretelles, mais surtout un oublie de la petite culotte. Vu la posture de la dame, je peux sans le moindre doute déduire que les fantasmes de mon chéri se condensent dans son cris de cœur favori:

Mériterait bien une pour son audace...

J'adore cette pseudo morale, sphinctérienne comme l'aimait appeler Freud, qui souhaite punir ce qui cause des petits titillements dans l'entrejambe. En partant de ce principe de montrer son fessier tout nu est donc un acte hautement recommandable. Bref sa main le démange sacrément et il aimerait bien que ce soit moi la fautive pour me rappeler dignement à l'ordre. Et comme à mes habitudes, je ne tarderai pas de lui fournir involontairement une jolie raison pour me corriger. D'abord par mon rire émerveillé et difficile à ignorer devant cette trouvaille, puis par mon cris de cœur qui résume mon association spontanée. 

Mais elle n'a pas de culotte !

Grande rigolade à côté de nous sur ce marché aux puces bien fréquenté. Et pour quelques cents je fais l'acquisition du journal. Il en va de soi que cette couverture ne me laisse pas de marbre non plus. Je m'imagine à la place de la jolie dame avec un sourire identique pour montrer... mes belles dents. Cachant derrière ma façade angélique de bien vilaines pensées. Imaginant mon homme me rappeler à l'ordre pour oublie de culotte.

En fait, je vis mes plus grands frissons quand ses réactions coïncident les plus fidèlement avec la petite voix en moi qui m'inspire mes fantaisies sévères.

J'adore quand mon homme se montre moraliste à souhait. Il a fait d'ailleurs de grands progrès depuis notre rencontre.

Mais d'où me vient cette passion pour les chevaux en bois ? Et comment cela se fait que mon homme aussi partage cette passion ?

Il est bien connu que les premières émois charnels de l'enfance se font en voiture, en train ou dans les fêtes foraines à cause des vibrations. J'ai dû avoir un coup de foudre pour les manèges avec de chevaux en bois et je n'ai cessé pendant de longues années de réclamer des tours à mes parents. Idem pour mon chéri. Voila un belle base pour un remix avec un fantasme de fessée. Bref une fois à la maison, mon homme m'a déculottée pour mon mauvais comportement en public.

Et la petite voix en moi était entièrement d'accord avec son verdict.

J'ai reçu une claquante fessée à la main, plutôt cuisante que douloureuse, une qui perturbe mon entrejambe au plus haut point. J'ai passé le reste de la journée sans culotte, en petite robe avec bas et porte-jarretelles en dessous, comme la dame de la couverture. Avec une seule différence :

Moi j'avais les fesses toutes rouges !

716 Mémoires d'une éducation sévère 16

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8.2 Discussion entre femmes


Lucie frémit. « Les oiseaux bleus », nom de la troupe, réunissait les filles qui recevaient les éducations les plus strictes au village. Adhérer à cette corporation impliquait à l’occasion de certains événements majeurs de la petite communauté d’afficher publiquement un état d’esprit orienté vers la discipline et l’obéissance. Lucie et ses amies ne rataient jamais les défilés de ces filles qui paradaient au pas cadencé pour le plus grand amusement des spectatrices, émerveillées par tant de coordination rythmique. Chaque mouvement fut exécuté avec exactitude irréprochable et laissa deviner un entraînement hors norme par le son de l’impacte parfaitement synchronisé des talons sur le parquet de la salle de fête.

Tu as besoin d’un encadrement strict pour t’épanouir ,

reprit Nadège.

Les instructrices connaissent leur métier. Elles peuvent, à tout moment, si elles le jugent opportun te sortir du rang et corriger ton attitude. Tu feras de progrès spectaculaires. Ainsi recevras-tu aussi une solide éducation anglaise hors maison.

Et si je refusais ?

Trop tard. Tu as voulu changer d’activité et j’ai cédé à ta requête. Je t’ai déjà mise sur la liste des candidates et acheté ton costume. Tu commenceras ta période d’essai la semaine prochaine. Nous avons donc assez de temps pour débuter ton entraînement. Je m’y connais bien. A ton âge j’étais chef de file des majorettes.

Je serais donc un « oiseau bleu » qui devrais s’exhiber dans une uniforme burlesque, le derrière presque à l’air dans le petit maillot string ?

Oui ma chérie. Tu découvriras le sens de la camaraderie et de la discipline en groupe. Et surtout le prestige de l’uniforme. Il me tarde te voir défiler. Sois à la hauteur de mes espérances si tu veux m’impressionner. Si tu arrives à intégrer la troupe, nous réviserons tes privilèges.

Que vont dire mes copines ? Je serais la risée de la bande, si cela se sait.

Lucie, il s’agit de ton avenir et pas le leurs. Tu as la chance de devenir un « oiseau bleu » et c’est tout ce qui devrait compter pour toi. Et si nous essayions ton uniforme ?

En fait, Lucie reçut deux uniformes, une pour les grandes parades et une pour entraînement. Ainsi comprit-elle aussitôt quel genre d’espoir Nadège cultivait à son égard.

La rentrée s’approchait doucement et il faillait à tout prix gagner le droit de sortie avant que ses copines ne revinssent. Par conséquence notre héroïne fut extrêmement motivée. La tenue de parade se composait d’une haute casquette qui portait l’insigne des « oiseaux bleus », surmontée d’une longue plume et qui se fixait par un ruban sous le menton. Le maillot, taillé dans une matière bleu foncée et brillante comme un miroir, se résumait à un juste au corps, épaules nues et montant vers le coup en encolure étroite. Il était très échancré dans l’entrejambe et de coupe string pour le derrière, en accentuant la taille par une large ceinture.
L’uniforme se compléta par de longues mitaines et des cuissardes à talons vertigineux.

La tenue d’exercice ne variait que pour le maillot qui ressembla à un petit haut s’arrêtant au dessus du nombril et laissant la partie entre cuissardes et maillot entièrement dépourvu de tout vêtement pour une « plus grande aisance du mouvement ».

Lucie n’avais jamais porté des chaussures aussi hautes et passa une bonne partie de l’après-midi pour acquérir une démarche acceptable. Elle n’était pas une fille maladroite, mais comprit vite que la grâce naturelle n’existait que dans le langage et se méritait par un travail acharné.

Désireuse de conquérir le droit de sortie, elle fit demande auprès de sa tutrice de porter sa tenue en permanence à la maison pour s’habituer au mieux à la façon de se déplacer avant de n’envisager les premiers mouvements complexes. Nadège approuva sa bonne volonté en optant pour la tenue d’exercice.

Pour mieux familiariser Lucie avec l’esprit régnant aux « oiseaux bleus », le martinet fut remplacé provisoirement par la cravache. Nadège changea également le programme de l’après-midi pour enseigner à son élève les mouvements élémentaires de l’art de la majorette, accompagnés par de la musique de marche.

Lucie apprit aussi à présenter son séant d’une façon convenable à la punition en penchant son buste en avant pour former un angle droit entre ses jambes et le haut de son corps, les mains autour des chevilles.
L’application rigoureuse de la cravache garda son attention au plus vif et elle fit de spectaculaires progrès. Toutefois la transpiration excessive de son entrejambe ne cessa point comme put s’apercevoir sa tutrice après chaque correction.

La nuit venu, pour évacuer la tension de la journée, Lucie dans son lit, s’abandonna à la seule possibilité qui lui restait pour calmer ses émois et y prit goût.

A suivre
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